1. Une femme vertueuse


    Datte: 20/03/2021, Catégories: h, fh, fplusag, jeunes, extracon, profélève, complexe, jalousie, Oral préservati, pénétratio, init, initiatiq, extraconj, prudes,

    ... amoureux. Casanova – que je lisais avec délices – était amoureux de toutes les femmes qu’il convoitait. Et moi, donc ! Odile soupira. — Il ne faut pas jouer avec cela, mon garçon. Tu ignores ce que c’est que l’amour véritable.— Le don de soi, la communion des âmes… et des corps. Vous me l’avez dit hier.— Je n’ai pas parlé des corps !— Nous ne sommes pas de purs esprits, Dieu merci !— Laisse Dieu à l’écart de cela.— S’Il nous a donné un corps, et le plaisir…— Le plaisir, toujours le plaisir… Mais il n’y pas que le plaisir, dans la vie ! Il y eut un moment de silence. Puis elle reprit la parole : — Tu regardes trop les jeunes filles qui viennent ici… Tu m’as dit hier que… que tu avais déjà connu l’amour physique.— Oui. Avec une amie de ma mère.— Mon Dieu ! Est-ce possible ? Dans quel monde vivons-nous ! Oh ! Mon pauvre enfant.— Je ne suis plus un enfant, j’ai des désirs normaux, des désirs d’homme, et j’entends bien les satisfaire.— Avec l’amie de ta mère ?— Non, elle ne m’intéresse plus, elle est trop vieille. Mais ma jeune sœur a d’adorables copines.— Mon Dieu ! As-tu déjà, avec elles… ?— Non, je n’ai pas encore fait l’amour avec elles. Mais cela ne tardera pas !— Par ta faute, elles commettront un péché mortel. Et imagine la déception de leurs futurs maris, quand ils se rendront compte qu’elles ne seront plus vierges !— S’ils sont comme moi, ils s’en ficheront bien ! Comme de leur première chemise !— Souiller ainsi la pureté des jeunes filles, c’est impardonnable. Que ...
    ... pourrais-je faire pour t’en dissuader ?— Un grand amour, un véritable amour pourrait sans doute me rendre fidèle.— Oui, je le crois.— Et peut-être… peut-être ne me faudrait-il pas aller le chercher bien loin, cet amour ? Vous avez lu ma dissertation, Madame ?— Tais-toi, oh ! Tais-toi, ne me tente pas ! Nous avions échangé ces paroles assis chacun à sa place, à chaque bout de la longue table. Elle se leva. Je fis de même. J’allai vers elle, je la pris dans mes bras. Elle tremblait. Ses lèvres ne se dérobèrent pas quand les miennes s’en approchèrent. Ma langue explora son palais. La sienne s’aventura dans le mien. — Oh mon Dieu, mon Dieu… soupirait Odile. Elle se laissa conduire jusqu’à la porte de sa chambre, que j’ouvris. Nous basculâmes sur le lit. Elle se laissa déshabiller. Je portais mes lèvres sur toute peau que je dévoilais. Ses seins étaient petits, aux aréoles très pâles. Quel bonheur de les sucer, de les mordiller ! Je conquis ensuite la toison d’or de son pubis. — Mais qu’est-ce que tu me fais ? Oh ! Mon Dieu ! Ma langue s’y frayait un chemin, débusquait le clitoris. — Oh non, oh non… gémissait Odile. Mais ses mains sur mes tempes appuyaient ma bouche sur son puits d’amour. Elle cria soudain, tout le corps comme tétanisé, et me repoussa. Elle haletait, les yeux hagards. — C’est donc cela, c’est donc cela, balbutia-t-elle, pantelante. Mon Dieu qu’avons-nous fait ? Mon membre dur comme du bois cherchait à remplacer ma langue. — Non, non, il ne faut pas, il ne faut pas. Elle ...
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