Une femme vertueuse
Datte: 20/03/2021,
Catégories:
h,
fh,
fplusag,
jeunes,
extracon,
profélève,
complexe,
jalousie,
Oral
préservati,
pénétratio,
init,
initiatiq,
extraconj,
prudes,
... avait refermé le compas de ses cuisses. — Il ne faut pas, il ne faut pas… Je repris sa bouche. Elle me laissa faire. Elle me laissa aussi mignoter de nouveau ses seins. Peu à peu, ses cuisses s’ouvrirent. Mon gland se fraya un chemin entre les poils humides, et entra. Odile, qui avait fermé les yeux, les rouvrit. — Oh mon chéri, murmura-telle. Prends-moi. Je me donne toute à toi, tant pis, tant pis ! Comme elle était étroite ! Il me fallait veiller à ne pas me répandre en elle. Heureusement, je m’étais « manipulé » au cours de l’après-midi, comme l’écrit si joliment Casanova. Je pouvais donc me maîtriser et attendre sa jouissance avant de me retirer et de polluer son drap blanc. Je me promis de prendre une capote la prochaine fois. — Mon Dieu, qu’avons-nous fait ! murmura-t-elle ensuite.— L’amour. Nous avons fait l’amour, Odile.— Que je suis faible, que je suis faible… Je suis une femme perdue.— Tu es une femme adorable, Odile, et je t’aime.— Il ne faut pas, il ne faut pas, oh mon Dieu ! Quelques tendres baisers sur ses paupières séchèrent ses quelques larmes. Comme je lui souriais, elle prit un air farouche : — Plus jamais, Gérard, plus jamais ! Il ne fallait pas, il ne fallait pas. Je repris mes vêtements et je partis. Elle resta sur son lit, un drap dissimulant désormais son corps. Tout au long des jours qui suivirent, elle me fit partir avec les autres. Elle me regardait sévèrement. Son confesseur avait dû la tancer d’importance. J’ai sonné à sa porte le matin du jeudi ...
... suivant. En ce temps-là, le jeudi était jour de repos pour les élèves. — Ah ! C’est toi, me dit-elle. Que veux-tu ?— Catherine m’a rendu ma dissertation, avec un 18. Après le cours, elle m’a demandé en riant qui était la femme aux cheveux d’or tombant en cascade sur le dos sublime, une fois le sévère chignon défait… Elle ne m’a pas reproché ces adjectifs, elle ! Elle parut hésiter. — Entre, finit-elle par me dire. Je la suivis dans sa salle à manger. Nous y restâmes debout. Odile était très pâle. — Elle m’a reconnue, n’est-ce pas ? Tu lui as dit que c’était moi ?— Bien sûr que non ! J’ai évoqué une amie de ma sœur. Je n’ai pas tout à fait menti, d’ailleurs ; sauf que Chantal est brune, qu’elle n’a pas de chignon mais les cheveux courts avec une frange, et que ses seins sont plus gros que…— Tu les as vus ?— Je les ai touchés, en chahutant dans l’eau de la piscine. Cet après-midi, nous irons dans la même cabine, elle et moi. Elle me l’a promis.— Il ne faut pas ! Tu ne dois pas abuser de l’innocence d’une jeune fille. Tu m’avais dit qu’un grand amour te verrait fidèle.— Un amour repoussé, une femme que j’adore et qui me regarde méchamment, qui ne veut plus que je la touche, que je l’embrasse… que…— Mais il ne faut pas ! Mon Dieu, mais quelle torture de t’avoir en face de moi, de te regarder, de te… désirer, oui, de te désirer et de savoir qu’il ne faut pas !— Mais pourquoi donc ?— J’ai juré, devant Dieu, fidélité à mon mari.— Et alors ?— Mais tu es un démon ! Oh ! Ne me tente pas, ...