1. Une femme vertueuse


    Datte: 20/03/2021, Catégories: h, fh, fplusag, jeunes, extracon, profélève, complexe, jalousie, Oral préservati, pénétratio, init, initiatiq, extraconj, prudes,

    ... ne me tente pas je t’en supplie ! Je suis si faible ! Elle sanglotait, la tête sur mon épaule. Mes mains défirent son chignon, jouèrent dans ses cheveux. Mes lèvres prirent sa bouche. Elle se laissa, une nouvelle fois, entraîner dans sa chambre. Je défis ses vêtements pendant qu’elle gémissait qu’il ne fallait pas, qu’elle était une femme perdue, indigne, une débauchée, et qu’elle en serait sévèrement punie un jour. Ma langue retrouva son clitoris qui n’avait jamais été à pareille fête. Elle me confia plus tard, en effet, que jamais Adrien, son mari… Jamais non plus elle ne l’avait sucé. Elle le fit pour moi, craignant de me faire du mal, ouvrant grand sa petite bouche. Ensuite, comme j’avais pris soin de me munir d’une capote, je la fis jouir avec force soupirs, halètements et petits cris. Le lendemain, elle me pria de rester après le départ des autres, sous un prétexte qui ne les trompa guère : certains et certaines d’entre eux ricanèrent en douce. Elle avait reçu une lettre de son mari. — Je vais tout lui avouer, me dit-elle. Panique à bord ! — Tu veux le quitter, divorcer ?— Bien sûr que non ! Ce que Dieu a uni ne doit pas être brisé… Adrien aura beaucoup de peine. Je passerai le reste de ma vie à expier ma faute.— Il te trompe peut-être.— Sûrement pas ! Il a été scout, il est droit et fidèle. Je suis indigne de lui.— Tu n’es peut-être pas obligée de lui raconter…— Je lui dois la vérité. Je dois être punie.— Comme tu voudras. Je fis mine de m’en aller. — Tu pars ?— J’ai ...
    ... rendez-vous avec Chantal. Son pucelage lui pèse.— Tu es odieux !— À demain, Odile.— Non, reste. Je ne veux pas que tu rejoignes cette jeune fille. Je lui pris la main. Elle me suivit dans sa chambre. Je procédai à son déshabillage. Je levai la tête et revis le crucifix. — L’autre jour, quand je suis allé dans ta salle de bain, j’ai entrouvert la porte de cette chambre. Je t’ai imaginée écartelée sur ce lit, à mon entière disposition.— Ah ! Elle se mordit les lèvres et se coucha, bras et jambes écartés. — Tu vois, je t’obéis. Je me sacrifie pour sauver la vertu de cette jeune fille. J’ouvris son armoire, j’y cherchai de quoi lier ses poignets et ses chevilles aux montants de cuivre de son lit. Des bas firent l’affaire. Je me mis nu. Je n’eus pas besoin, ensuite, de lécher longtemps ses petites lèvres et son clitoris : c’était déjà très humide ! Quand je fus en elle, elle me demanda de lui faire mal ; je pinçai la pointe de ses seins. Elle jouit très vite. Moi aussi. Après, j’ai posé mes lèvres un peu partout sur son corps, j’ai sucé doucement ses tétons roses. — Je t’ai fait mal, en les pinçant ?— Oui, un peu.— Je te délivre, maintenant, ou je pars en te laissant attachée, et ta porte grande ouverte ? Elle ne me répondit pas tout de suite. Puis : — Refais-moi l’amour. Sans me détacher. Elle fermait les yeux, imaginant sans doute que j’étais un inconnu qui profitait d’elle. Le lendemain, elle se conduisit comme une étrangère, critiquant devant les autres un commentaire de texte ...
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