1. ... Et songes


    Datte: 22/03/2021, Catégories: fh, couple, extracon, inconnu, essayage, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme

    ... femmes papier glacé dont tu viens de convoiter le corps à la place du mien. Comme tu as dû les aimer et jouer avec leur anatomie ! Tu me déçois… Nathalie ponctue ses propos en faisant une moue de dépit, guettant la réaction de Frédéric. Elle cherche à lui donner une leçon, pourtant elle ne se sent pas capable d’aller plus loin. — Embrasse-moi plutôt. J’aime bien quand tu bandes comme cela. Mon dieu que se passe-t-il, voilà un mot qu’elle ne prononce jamais. — C’est un très joli spectacle avant de plonger dans le sommeil. Tu dois avoir une sacrée envie, peut-être es-tu malheureux ? Leurs lèvres s’unissent d’un seul coup et leurs langues se livrent, une fois n’est pas coutume, à une petite danse endiablée, se cherchant, s’échappant, s’enroulant l’une contre l’autre. Frédéric se délecte de cette ardeur inaccoutumée et par l’échancrure de la chemise de nuit de Nathalie - elle a donc oublié sciemment quelques boutons ce soir -, il s’empare d’un sein. Il se met à le masser du bas vers le haut, au rythme de leurs langues qui continuent leur sarabande. Il en épouse le contour et le pèse longuement. Pourquoi ne vient-il pas plus souvent les honorer ? Ils sont pourtant lourds et fermes. Il presse le mamelon, il souhaite le voir grossir au contact de ses doigts. Homme pressé, il le pince afin d’en faire jaillir la pointe qu’elle a très grosse et sombre, un gros bourgeon parsemé de légères fissures, rugueux, une excroissance que l’on rêve de croquer à pleine dent sans prendre garde à sa ...
    ... fragilité. Quelle sensation déjà pour lui de sentir le bouillonnement de cette chair, de la voir changer de contexture et presque de couleur ! Il le voudrait encore plus volumineux. Avide, il abandonne le téton de Nathalie et entame une longue descente en direction du ventre de son épouse. Elle l’arrête fermement. Que se passe-t-il ? — Un peu de patience veux-tu. Quel homme pressé tu es ! Parfois tu me fais mal, tout doux, s’il te plaît. Et… ce soir je t’ai réservé une surprise ajoute-t-elle en regardant Frédéric, quelque peu interloqué qu’il est, par le comportement de sa femme. Elle le scrute. Ce n’est pas possible, il ne devine pas, au diable ce catalogue qui détruit tout. — Mon amour, tu ne vois vraiment pas de quoi il peut s’agir. Hum ! ! ! Je ne te crois pas. Frédéric, tout à son impatience, le corps en attente, ne comprend pas sincèrement ce que Nathalie lui a concocté comme cadeau d’amour. — Tu manques de perspicacité mon tendre coquin. Mais, je ne vais pas te faire languir plus. Ferme les yeux, s’il te plaît, tu seras un ange. Tiens ! Voilà une expression qui ne lui est pas étrangère en cette soirée. Bizarre n’est-ce pas ! Mais Frédéric n’en peut plus. Il ferme les yeux et se tourne, s’allonge sur le dos, presque au garde-à-vous dans le lit. Il l’entend remuer, écarter les draps et les repousser aussi loin que possible. Elle n’a donc pas froid, pourtant normalement, entre eux, tout doit se faire bien au chaud, ce qui le désespère en temps normal. Il comprend au bruit ...
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