La bourgeoise et le danseur
Datte: 22/03/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... siège ou restant la en l'attente de la suivante. Je ne vis pas tout de suite ma femme au milieu des danseurs, je ne la vis que de dos et qui suivait son cavalier vers le coté opposé de la salle. Il la tenait par la main, mon cœur bondit dans ma poitrine mais je restais cloué à ma chaise. Ils disparurent par une porte au fond et je restais la, perdu dans cette immense salle, seul, soudain très seul. Le temps me parut une éternité avant que je la vis revenir toute seule. Des points d'interrogation se bousculaient dans ma tête en regardant ma femme revenir vers notre table. Elle avait cet air que je lui avais connu le fameux soir de la fête de fin d'année : un air un peu absent, aérien et rêveur. Je fronçais les sourcils, l'interrogant du regard quand elle se laissa tomber sur le siège sans me regarder. « Alors? » Toujours sans se tourner vers moi, je vis ses joues empourprées quand elle me dit : « Il m'a demandé de le sucer. » Je ne dis rien d'abord, incapable de proférer un son dans ce milieu devenu tout à coup hostile. Je me forçais à bouger ne serait ce que pour être sur que je ne rêvais pas. « Et... tu l'as fait? » « Oui » Je la regardais, il était évident qu'elle me narguait dans le style « Tu l'as voulu, tu l'as eu! » Toujours le regard ailleurs. Je ne pouvais rien dire, trop de choses se bousculaient dans ma tête. Je me forçais à un sourire. « J'espère que tu as aimé et qu'il a apprécié! » « Il a apprécié oui, je ne dirais pas que j'ai vraiment aimé. » « Pourtant tu ...
... aimes ça d'habitude. » Elle ne répondit rien le regard toujours au loin sur la piste de danse. « J'ai envie de rentrer. » Enfin elle s'était tournée vers moi pour me dire cela. Je me levais comme mu par un ressort. « Viens on rentre. » Elle me suivit, le retour se fit sans un mot dans la voiture. Elle faisait mine de regarder le paysage qui n'avait rien de folichon en cette fin d'hiver. Moi j'avais hâte de me retrouver chez moi, dans un milieu qui ne m'était pas inconnu, un nid douillet. A peine la porte refermée sur nous, je l'entraînais dans notre chambre, je lui arrachais presque ses vêtements, en prenant soin de bien inspecter sa culotte au passage. Je la trouvais aussi trempée que le fameux soir et cela me procura une érection comme jamais je n'en eus. Je la jetais littéralement sur le lit et je la pris sans préliminaire, la violant sur le lit conjugal. Nous eûmes un orgasme puissant et dévastateur, je déchargeais mon sperme au fond de son ventre dans des jets si puissants qu'elle en poussa des râles de surprise. Je lui refis l'amour dans la foulée, sans que ma bite ne se ramollisse, mais plus lentement, méthodiquement, prenant soin de lui planter ma queue bien au fond. Les mouvements de mon sexe provoquaient des clapotement et des bruits de succions dans son vagin ce qui décupla encore mon envie d'elle, je me vidais une seconde fois dans son vagin inondé. Nous nous affalâmes, hébétés, par l'aventure qui venait d'être la notre. Et puis elle parla, elle me dit le plaisir qui ...