Fleur, véto, conte florès
Datte: 22/03/2021,
Catégories:
fh,
ff,
grp,
cocus,
sauna,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
couple,
... l’Adour.— Tu ne t’inquiètes pas de l’état d’humeur de mes clients d’habitude. Il a l’air de te tenir à cœur ce garçon.— En effet oui. C’est un ami.— Juste un ami ?— Qu’est-ce que tu vas chercher ! Oui juste un ami. Un ami de longue date c’est tout. J’ai de la peine pour lui comme je pourrais en avoir pour une amie.— Sauf que la dernière fois que tu m’as demandé de suivre quelqu’un que tu connaissais, ton amie Charlène, ça ne t’a pas gêné que je lui montre des photos de son mari occupé avec un autre homme dans une back-room homo.— Euh…— Tu vas me dire que ça n’a rien à voir ?— Charlène n’était pas dépressive.— Tu es véto, pas psy. Tu n’en savais rien. Et l’idée ne t’est pas même venue à l’esprit. Tu es sûre que tu n’en pinces pas un peu pour lui ?— C’est vrai que j’ai une profonde amitié pour lui. Mais c’est tout. C’est vrai qu’à l’époque de la fac, si je n’avais pas déjà été avec toi, j’aurais peut-être eu une aventure avec lui. Mais c’était il y a longtemps.— Tu regrettes ?— Jamais de la vie. Tu es le meilleur mari du monde.— Et toi la meilleure épouse. Nous avons trinqué, mais mon cœur avait chaviré. Il allait faire ce rapport et détruire ce qu’il restait de candeur chez mon ami, le tuer peut-être. — Jacques, je comprends que tu ne me montres pas ce dossier. Mais si j’allais regarder moi-même sur ton ordinateur avant que tu termines ton rapport, je pourrais peut-être amortir le choc ?— Pardon ? De quel dessert as-tu envie ? C’était une façon de ne pas me dire non, sans me ...
... dire oui. Le reste de la soirée, nous sommes restés éloignés de ce sujet. En faisant l’amour ce soir-là, je me suis demandé si Jacques se rendait compte ou pas que j’avais la tête ailleurs. Je dois pouvoir compter sur les doigts d’une seule main les fois où j’ai simulé un orgasme. Jacques sait jouer avec mes sens, embraser mon corps, me faire décoller, me rendre folle. Cette nuit-là je n’arrivais pas à me lâcher. Je voyais l’image d’Imanol les yeux rouges, regarder des photos que je ne voyais pas, mais dont la violence lui défonçait les yeux. Je le voyais pleurer. Je le voyais se réfugier dans mes bras. Je pouvais presque sentir sa peau contre la mienne alors que mari transpirait pour me faire du bien. J’ai fermé les yeux, et j’ai fait semblant de jouir. Entre la fierté de rendre mon mari heureux et la honte de ne pas avoir été honnête, j’ai sombré dans un sommeil agité. Jacques s’est levé tôt pour aller faire du vélo comme il le fait chaque dimanche, avec des copains, quand il ne pleut pas. Il est venu m’embrasser avant de quitter la maison, me glissant à l’oreille qu’il avait oublié de verrouiller son ordinateur, mais qu’il se mettrait en veille tout seul d’ici 15 minutes. Les enfants dormaient. Comme les ados de leurs âges, ils sont capables de dormir jusqu’à 13 heures. Je me suis rendue au bureau de Jacques qui est attenant à la maison. La porte était ouverte, et l’ordinateur en effet allumé. Un dossier papier était posé sur le bureau, portant un numéro et un nom, celui ...