1. Fleur, véto, conte florès


    Datte: 22/03/2021, Catégories: fh, ff, grp, cocus, sauna, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, couple,

    ... raison et au moins tu en auras le cœur net et la preuve, dont tu feras ce que tu veux. Ou bien tu te fais des idées et Jacques ne prendra pas beaucoup de temps à t’en convaincre. Il ne te restera qu’à t’excuser auprès de ton épouse, et peut-être à chercher ailleurs pourquoi vous vous éloignez n’un de l’autre. Et la prochaine fois qu’on se verra, tu auras retrouvé ce si beau sourire qui fait tout ton charme. Il m’a souri et m’a tendu la main. Il me confiait le soin de le rassurer. J’en ai parlé le soir même au téléphone à Jacques, qui après m’avoir dit qu’il ne travaillait jamais pour des relations personnelles, a fini par céder à mes suppliques. Il m’a demandé quelques informations d’état civil, une adresse, quelques photos, qu’Imanol m’a envoyée par mail et que j’ai transmises illico. Pour le reste du séminaire, Imanol m’a semblé plus détendu, plus souriant. Nos soirées ont été pour lui moins pesantes. Peut-être se disait-il qu’après tout, tout n’était pas perdu, et qu’une personne extérieure à leur couple en ferait bientôt le constat. J’ai repris le lundi suivant avec un planning chargé. Bon nombre des clients de la clinique vétérinaire ne veulent avoir affaire qu’à moi, ignorant les recommandations que je leur fais de se fier à mes collaborateurs. Les chiens-chiens à mémère ou les chattes à stériliser je fais ça surtout le matin. Après le déjeuner, c’est tour des fermes et visites à domicile. Les interventions chirurgicales ont lieu le matin avant 10 heures en général. ...
    ... Des journées bien chargées en somme. Je savais que Jacques avait commencé à travailler sur le cas d’Imanol, mais il n’a pas pour habitude de me dire exactement ce qu’il fait, comment il s’y prend, et ce qu’il a vu. Et aux heures auxquelles je rentre, je me consacre à l’essentiel. Néanmoins, j’y ai souvent pensé la journée, ou même en m’endormant. Revoir le visage triste et la détresse patente de mon ami me rendait triste moi-même, comme si je souffrais à sa place. C’est Jacques qui m’a parlé du sujet le samedi midi alors que nous étions sortis déjeuner tous les deux en ville. Il avait la mine grave des mauvais jours, cet air sérieux qu’il affiche quand il veut qu’on l’écoute avec attention. — J’ai avancé au sujet de ton ami.— Et ?— Et elle ne se cache pas vraiment.— C’est-à-dire ?— Il est comme toi. Il bosse trop. Elle doit se sentir seule, et elle comble le vide— Avec ses copines ?— Entre autres oui. Elle sort beaucoup.— Dis-m’en plus.— Écoute. Je ne l’ai fait pister que pendant 4 jours. Mais j’ai déjà un catalogue de destinations et activités curieuses, et quelques photos croustillantes. Ça ne va pas du tout plaire à son mari.— Fichtre. Quelles activités ? Y’a quoi sur les photos ?— Ma chérie, ça relève du secret professionnel. Je n’ai pas de secrets pour toi, mais c’est lui, mon client. Je lui ferai un rapport détaillé. S’il veut t’en parler, il le fera.— Si c’est grave à ce point, tu ne peux pas faire ça. Il m’a semblé dépressif. C’est un coup à ce qu’il se jette dans ...
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