1. Fleur, véto, conte florès


    Datte: 22/03/2021, Catégories: fh, ff, grp, cocus, sauna, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, couple,

    ... respiration. Il ne pouvait pas faire de clichés de plus près, il ne pouvait pas faire son métier, j’imagine, de façon aussi agréable. Un homme se penche vers lui et semble lui demander quelque chose. Puis on le voit saisir Marion par les hanches pour la redresser. Il tient son sexe à la main. Elle se retourne pour le regarder, puis se cambre. Il la pénètre sans autre forme de procès, la besogne, la bourrine. On sent les mouvements dans ces photos floues. On sent le plaisir de cette salope dans ses yeux. Elle suce un inconnu et se fait sauter par un autre. Une photo de Marion rentrant chez elle, prise au téléobjectif. Soit ce garçon n’a pas voulu que son patron voie ce qu’il a fait du reste de l’après-midi, soit il n’avait plus de batterie dans ses lunettes. Imanol avait raison. Sa femme le trompe. Pas un amant, non, la débauche. Elle doit se faire baiser du lundi au vendredi, exception faite du mercredi. Elle s’occupe de ses enfants, et de toute façon le club est fermé. Je fais défiler les photos comme un robot. Elle est retournée au club le lendemain. Sur la piste, elle s’est laissé ôter son chemisier. Elle est allée à l’étage avec deux hommes. Sa copine est restée à danser. Le motard a suivi dans les coins câlins. Sans se cacher le moins du monde, elle s’est offerte. On la voit embrasser à pleine bouche un homme alors qu’un autre la prend, se laisser caresser les fesses, écarter elle-même ses lèvres pour être pénétrée alors que tout le monde regarde. Ses yeux sont ...
    ... sauvages et exorbités ; sa bouche est souvent aussi ouverte que ses cuisses. C’est innommable, honteux, définitivement vil et crade. Je n’en peux plus de ces photos, même si je dois avouer que quelques-unes sont un peu excitantes, mais pas aussi excitantes que d’autres sont vulgaires. J’ai fermé l’ordinateur, restant hagarde devant l’écran noir, en me demandant ce que je devais faire. Convaincre mon mari de ne rien dire, mentir à Imanol pour le préserver. Ou le convaincre de retirer les photos compromettantes, de parler de comportement étrange, mais sans aller jusqu’à décrire ce qu’elle ose faire. Ou le laisser tout lui dire, tout lui déballer. Le laisser lui montrer ces photos où l’on voit son épouse réclamer qu’on la baise, à genoux, quand elle s’écarte les fesses de ses mains. Le laisser l’anéantir en espérant qu’il s’en sorte, qu’il la vire à grands coups de pompe dans le cul. Il était 10 heures. J’ai finalement décidé de ne pas attendre le retour de Jacques. C’était trop grave. J’ai appelé mon ami. — Imanol ? je te dérange ?— Pas du tout Fleur. Tu vas bien ?— Ça va merci. Je peux te parler ? Tu es au calme ?— Je suis à mon cabinet oui. Des trucs à boucler. Tu m’appelles au sujet de l’enquête ?— Oui, et ce que j’ai à te dire n’est pas très agréable.— …— Tu es là ?— Excuse-moi. Oui. J’avais raison ?— Je crains que oui.— Avec qui ?— Écoute Imanol. Je ne peux pas trop te dire. Et qu’importe.— Je veux savoir.— Si ça peut te rassurer, elle n’a pas d’amant régulier.— Tu veux dire ...
«12...789...19»