1. Hélène (25)


    Datte: 22/03/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... verre. Puis doucement, je fais couler le contenu de nos deux champagnes entre les lèvres de cette pissotière. Un gargouillis, que je traduis en merci. Nous continuons la promenade. Dans cette chambre, un cul nous attend, comme jaillissant du mur, ou plutôt d’un paravent poussé dans un angle. C’est un beau fessier de femme, imposant, comme une croupe de jument. Les cuisses sont fortes, maintenues écartées. Des pinces, munies de poids sont crochées aux petites lèvres, laissant le sexe imberbe exposé. L’orchidée baîllante montre sa nacre brillante. Cette coquine mouille, dans l’attente de la flagellation de son pétard. Nous ne verrons rien d’autre du corps auquel cette croupe appartient. Les marbrures qui le décorent montrent qu’elle a été appréciée, et que la cravache posée sur le reposoir à côté, a servi. — S’il te plaît mon chaton, caresse mon popotin avec ce jonc. — Oui à condition que tu honores dignement cette jeune femme. — Toi d’abord, fait ma chérie en me tournant le dos et en se troussant. Récit de Pierre. Je prends l’instrument, je tapote légèrement la paume de ma main avec la claquette de l’instrument. — Ne me fais pas attendre, s’il te plaît. Me lance ma chérie Le sifflement de la tige du jonc traverse l’air. Le cri de ma sultane lui fait écho. Doucement, une marque rouge apparaît sur les fesses de ma victime adorée. Puis le rideau de sa jupe tombe sur ce spectacle attendrissant. Hélène prend la badine de mes mains, se retourne, et dans le même mouvement, elle ...
    ... lance son coup. Un hurlement féminin lui répond. La croupe opulente agite frénétiquement, une trace rougit à vue d’œil, nous percevons des sanglots de l’autre côté du paravent. — Pierre chéri, je me sens toute chose. Crois-tu que je pourrais être exposée. — Tu le veux vraiment. — Oui, s’il te plaît. — Revenons vers l’entrée, nous verrons si Christine peut quelque chose pour nous. Récit de Pierre. Hélène chuchote quelques mots à l’oreille de notre hôtesse. Celle-ci me fait signe d’approcher — Ça tombe bien, j’ai eu un désistement, venez tous les deux. Ajoute-t-elle en nous entraînant dans un salon à côté. — Pierre, que comptez-vous mettre en valeur chez Hélène, ses fesses ? — Non, en ce moment, j’ai l’impression qu’elle fait une fixette sur sa poitrine. — Tant mieux, j’ai trop de culs en exposition. Puis elle ajoute, autoritaire — Hélène, ma chérie, mets-toi à poil ! — Mon amour, peux-tu me dégrafer. Me demande ma belle Si tôt demandé, si tôt fait, ma compagne se retrouve en tenue d’Eve. Son corps de quinqua est attendrissant, presque maternel. Environ un mètre soixante, soixante-cinq, des formes, juste où il faut. Des jambes avec des chevilles fines, des mollets bien marqués, des cuisses un peu charnues, un fessier opulent bien mis en valeur par une cambrure naturelle encore accentuée par une taille assez fine, un petit ventre, bien pratique pour servir comme oreiller après l’étreinte. Ses seins se sont alourdis, mais ils se tiennent encore bien. Et je ne peux m’empêcher ...