Hélène (25)
Datte: 22/03/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... dont la face est crantée, je serre la vis de blocage des deux cercles, jusqu’à ce que je sois sûr qu’ils ne glisseront pas. Mon amante accompagne cette opération de halètement de douleur. Puis je casse le vide et je retire les deux cloches. Le résultat est saisissant : les fragiles boutons roses d’Hélène sont à la fois gonflés et étirés, ils semblent gorgés de sang. Je les effleure du doigt. Ma sultane se cambre en émettant un cri étouffé. Elle est prête !!! Récit d’Hélène La toile m’aveugle et se plaque sur moi. On attrape mon sein droit, des doigts pétrissent mon téton, le faisant grossir. J’ai une sensation de succion, je sens mon sang affluer dans mes mamelons. Cette sensation est à la limite du plaisir et de la douleur. Je me doute bien de ce qui m’attend. Je ne suis pas surprise de la morsure d’une petite mâchoire, qui s’accentue jusqu’à devenir douloureuse. Je laisse échapper un geignement Récit de Pierre Après m’être occupé de la poitrine de ma belle j’entreprends sa chatte. Je noue un lien sur ses anneaux. Puis je tends les ficelles dont j’agrafe les extrémités libres, écartant ses grandes lèvres. Je me saisis de deux pinces chirurgicales, à bout plat et arrondi. Je clampe une première nymphe, provoquant un petit gémissement sous le drap. L’autre lèvre subit le même sort. Je les étire en les rattachant au lien des grandes nymphes. Son orchidée est ouverte, épanouie. Je décalotte son clitoris, et je dégage son bouton. Son intimité nacrée, humide est totalement ...
... découverte, offerte. Récit d’Hélène. Mes seins me lancent sous la souffrance de l’étirement combinée à celle de l’écrasement. Je me forme une image mentale, dans laquelle je ne suis plus qu’une paire de seins étirée et une chatte exposée, au clitoris disponible. J’entends comme étouffé, le dialogue lointain de mon maître et de mon ordonnatrice — Pierre, activez ce petit martinet et posez-le à côté de notre belle amie. — Activer le martinet ? — Oui, appuyez sur le bouton au bout du manche. — Qu’est-ce qui va se passer ? interroge mon amant. — Il y a un capteur dans le manche, et il envoie un signal dans le plug. Agitez-le. Je prends une décharge électrique dans l’anus, En même temps les deux billes s’entrechoquent dans mon rectum. Je gémis dans mon bâillon. Je comprends ce qui m’attend. Douleur du flash associé au plaisir de la stimulation anale. — Aidez-moi à faire rouler ce lit, pour l’installer. Demande Christine à mon homme. Le transport dans les couloirs, avec les virages, achève de me désorienter. Mon véhicule improvisé s’arrête. — Venez Pierre, laissez la seule. Le silence, et mon immobilité forcée aiguisent mes sens. Mon anus engodé me renvoie cette douce sensation de dilatation, celle que j’apprécie tellement quand mon amour m’encule. Mon ouïe s’affine, et je peux entendre comme au loin le hurlement d’un cul flagellé. Des pas dans le couloir. Puis une voix féminine. — Viens voir, si si, viens voir. Je frémis. Cette voix, qui me fait frissonner, c’est celle de Béatrice...