1. The Devil's cumshot


    Datte: 24/03/2021, Catégories: fffh, nympho, grossexe, bizarre, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral pénétratio, policier, fantastiqu, fantastiq, roadmovie,

    Les souvenirs éclataient comme des bulles de sang à l’intérieur de mon cerveau. Chaque douleur, chaque étourdissement portait désormais un nom, celui des diablesses qui m’accompagnaient. Masochista, Verba, Sodomia, et Carnivora, mes sœurs de souffrance. Ces femmes n’avaient plus rien d’humain, elles étaient à mon image. Désormais, mon plaisir n’était que sexuel, mais ce n’était plus de la baise, tout se résumait à une simple envie de consommer, de dévorer l’autre. Il était permanent. Je parlais sexe, je buvais sexe, je mangeais sexe, je respirais sexe, je baisais sexe. Je voulais que ce putain de monde explose dans une immonde partouze, le noyer dans un bain de foutre pour le laver de son hypocrisie, faire éclater ce corset aux lacets de morale bien pensante. La quête de sens qui m’avait animé jusqu’alors s’écoulait entre mes doigts comme du sable fin et se résumait à quelque chose d’inscrit dans la mémoire d’une autre vie. La Mustang en arrêt sur le bas-côté venait de rendre l’âme dans un tourbillon de fumée. Le moteur avait tout simplement pris feu. Nous étions devenus fous, habités par la soif animale de dévaster le moindre obstacle. Et j’en étais le grand ordonnateur, l’homme du chaos. Accompagné de mon armée des ombres. Quelque chose était né à l’intérieur de mon cerveau, à l’instar d’une longue gestation qui se serait subitement révélée. Et dans l’exécution de ce terrible plan, je savais que les recrues ne manqueraient pas. Les filles étaient installées sur la ...
    ... banquette arrière, Carnivora au milieu, à califourchon sur mes genoux, ses seins contre la tête d’Eraserhead sur mon torse, ma queue dans sa fente et sa chevelure rebelle dégoulinant sur ses épaules. Je ne pouvais plus m’en passer. Elle se soulevait irrégulièrement, comme si le fait de me sentir en elle suffisait à son bonheur. Elle plaisantait, fumait une clope, buvait au goulot les bières que nous tendaient Sodomia et Masochista toutes deux à nos côtés. Mon bras enlaçait l’épaule de la petite de la morgue pour caresser les mèches blondes de ses cheveux. Verba, elle, se tenait sur le siège du passager avant, notre chauffeur rock’n roll répondant au doux nom de Billy. — Alors, mon amour, qu’est-ce qu’on fait ? me lança Carnivora entre deux déhanchements. Je fis un mouvement du bassin pour la pénétrer plus profondément et lui tirai un gémissement de surprise. Le sourire aux lèvres, elle déversa la canette de bière sur sa poitrine, le liquide doré s’écoulant en cascade sur les monts de ses petits seins que je m’empressai de lécher en compagnie des deux sœurs. Nos langues s’entremêlaient sur la peau suintante de Carnivora, glissantes, rampantes, vives comme des mygales. D’où j’étais, je pouvais remarquer l’essaim de mouches dévorer la nuque du géant qui ne bronchait pas. Lorsque je fus rassasié de plaisir, j’agrippai les hanches de Carnivora et l’exécutai d’un puissant coup de reins avant de sortir ma queue pour m’éparpiller sur son ventre, noyant son nombril de six giclées de foutre ...
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