1. The Devil's cumshot


    Datte: 24/03/2021, Catégories: fffh, nympho, grossexe, bizarre, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral pénétratio, policier, fantastiqu, fantastiq, roadmovie,

    ... représentait un nouveau visage de pornstar californienne, celui d’une certaine Taylor Rain, maculé de foutre, une dingue de baise qui s’était lancée dans le X après le 11 Septembre, m’avait avoué ma compagne. Attifée de cette manière et balancée comme elle était, elle semblait une déesse aux allures de putain ! Son épaisse crinière ondulait au creux de ses reins pour lécher ses fesses au galbe délicieux et son grain de beauté à la commissure des lèvres persistait à embraser mes sens. Elle était solaire et vénéneuse avec son Desert Eagle dans la main. Prête à cracher son venin. Et lorsque je lui avais demandé où en était son désir de rester nue à jamais, elle s’était contentée de répondre qu’elle se sentait plus désirable comme ça… pour le moment. Sodomia arborait toujours ses hautes bottes et son uniforme US de bimbo. Les seins empaquetés dans un Wonderbra qui menaçait d’exploser à chaque instant, et la toison masquée par un string bleu en lycra recouvert d’étoiles. Son cul était incroyable, il était sans conteste le plus bandant, détrônant sur ce point celui de celle que j’avais un temps nommé Polly. Quelque part, elle me rappelait un peu la Wonder Woman de ma jeunesse qui avait nourri les fantasmes d’une multitude d’adolescents sans avenir. Sa chevelure blonde en queue-de-cheval dégoulinait sur sa nuque jusqu’aux omoplates, cachant la spirale qui marquait désormais chaque membre du groupe. Sur chacune de ses cuisses, reposaient fièrement les deux crosses brunâtres de ...
    ... Colts Python, sagement logés dans les holster de son ceinturon. Quelque chose avait changé dans le regard de Masochista. Un instinct plus noir, plus ténébreux, l’habitait. Une légère traînée de Kohl soulignait la mine sombre qui ombrageait son visage et ses lèvres étaient aussi noires que la nuit. Lardé de cicatrices et d’ecchymoses, son corps ressemblait à s’y méprendre à celui d’une poupée rafistolée. Une énorme balafre couturée zébrait son ventre pour remonter au niveau du sein gauche, précisément là où les balles l’avaient déchiquetée à la sortie duDixie. Les empreintes des projectiles meurtrissaient encore sa chair, découvrant les entrées de cavernes infernales dans l’épiderme. Son ossature frêle et anguleuse accentuait davantage ce faux air de survivante d’une guerre atomique impitoyable. Elle aussi portait la marque spiralée, s’écoulant au-dessous de ses cheveux lisses d’un blond opaque. Elle les portait désormais assez courts, les ayant saccagés à coups de ciseaux avant de passer le tranchant des lames sur ses avant-bras pour laisser un sillon brunâtre sur sa peau laiteuse. Pour tenue, elle présentait un ensemble noir en latex saillant comme des liens, une culotte et un soutien-gorge à la manière de Betty Page, de sorte que, de profil, sa poitrine semblait une paire d’obus taille humaine. De longues cuissardes très moulantes venaient compléter ce tableau de parfaite déjantée qui avait insisté pour que je lui passe un collier noir autour du cou. Muni d’une chaînette ...