La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°779) - Histoires de Sexe

La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°779)

Marion au Château – (suite de l'épisode N°772) - Je fis alors le tour du panier comme une vraie chienne et me couchais dedans. Le Maître s'allongea également dans son grand lit en baldaquin. Il me regarda un long moment avec tendresse et éteignit la lumière. Avant de sombrer dans le sommeil, je repensais à cette première journée en présence du Maître. Je me sentais heureuse et enfin à ma véritable place. Depuis trois ans que j'étais Sa soumise virtuelle, je ne rêvais que de ce jour ! Je fermais les yeux, le sourire aux lèvres, le cœur serein et joyeux… Durant la nuit, je fus réveillée trois fois, afin de satisfaire le Maître chaque fois par un orifice différent. Il me prit d’abord en levrette à même le sol dans mon cul en une sodomie sauvage et profonde. La deuxième fois, il choisit ma bouche comme réceptacle à sperme après me l’avoir amplement baisée jusqu’au fond de ma gorge. Et enfin la troisième fois, il pénétra ma chatte en position classique du missionnaire toujours sur le large et grand tapis au pied de son lit. Je ne dormais que d'un sommeil léger afin d'être prête à le satisfaire encore au moindre geste qu'Il ferait. Lorsque le matin arriva et que je me réveillais pour de bon, je vis le Maître qui m'observait depuis un confortable fauteuil, l'air pensif. Je m'étirais avant de me mettre à quatre pattes pour m'avancer vers Lui et j'allongeais mes bras jusqu'à ce que mon front touche le sol pour le saluer en me prosternant ainsi. Le Maître était nu, le corps encore ...

... luisant d'une douche récente. - Relève-toi et regarde-moi! me dit-Il doucement. Alors je me redressais, lentement, relevant au dernier moment la tête et enfin les yeux. Je le regardais, clignant régulièrement des paupières, tellement son regard bleu profond et Dominant me troublait. De longues minutes passèrent en contemplation dans un silence absolu. Nos sourires commencèrent à apparaître, celui du Maître semblant entraîner le mien. Durant ces quelques minutes, une émotion, une fusion, passèrent entre nous par le regard et le sourire. Jamais je ne m’étais sentie aussi bien, planant sur un nuage. À travers ses échanges silencieux, il semblait que le Maître me promettait protection et tendresse, et pour ma part j’espérais lui faire passer le message de ma totale soumission et dévotion, de mon irrépressible envie de Lui appartenir et de passer ma vie à Ses pieds. Le Maitre rompit le charme en se levant et s’approchant de moi. Sans un mot son bras et son index droit se tendirent vers le sol, me faisant comprendre que je devais m’agenouiller, ce que je fis immédiatement, baissant immédiatement la tête et les yeux. - Ma belle petite chienne, ce matin, j’ai décidé de commencer à te faire prendre moi-même ton petit déjeuner. Regarde, ma queue, comme elle est encore gonflée ! Elle n’attend plus que ta bouche ! Effectivement, le sexe du Maitre pointait fièrement vers le plafond, longue, épaisse, appelant à une délicieuse succion. Je m’approchais à quatre pattes du Maître. Mes mains se ...