1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°779)


    Datte: 24/03/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... les faveurs que je daigne t’accorder, je pourrais te refaire tomber en une seconde plus bas que tu ne l’as jamais été ! Je me mis donc à quatre pattes comme la chienne que j’étais prête à suivre le Maître là où il lui plairait de m’emmener. Il passa une laisse à mon collier et m’entraina dans une pièce attenante à la chambre, où se trouvait une table, avec dessus un plateau que je ne pouvais voir, mon regard restant fixé au sol. - Aujourd’hui, tu as le choix. Que bois-tu le matin, thé, café, chocolat ? Tu es autorisée à parler. - Maître, puisque Vous m’en laissez le choix, je prendrais volontiers un chocolat. - Bien, et avec que préfères-tu? Je te propose des céréales, du pain ou des croissants ? Ne me méfiant évidemment pas, je répondis avec enthousiasme : - Un bol de céréales, s’il Vous plait, Maître. Je croyais rêver, le Maître me traitait comme une princesse ! Cependant j’attendais pour choisir ma place que le Maître me l’indiqua. Je ne voyais pas ce que faisait le Maître, mais j’entendais le bruit d’un liquide versé dans un récipient, puis des céréales recouvertes de lait. - Avance à Mes côtés Ma chienne ! Puis, il se baissa et posa au sol deux gamelles, l’une remplie de chocolat chaud et l’autre de céréales. - Bon appétit Ma petite chienne, me dit-il avec un petit sourire en coin. Je m’approchais en quadrupédie de la gamelle de céréales et essayais tant bien que mal d’attraper les petits morceaux croustillants avec ma langue, tentant de ne pas mettre de lait partout, ...
    ... et que mes longs cheveux ne tombent pas dans mes gamelles. Pendant ce temps, le Maître déjeunait à table, me caressant parfois la croupe relevée, me relevant de temps à autres la tête pour me donner des petits morceaux de pain beurré ou de croissant à becqueter. Je réussis à finir mes gamelles sans trop de dégâts, mais préférais ne pas attendre les ordres du Maître pour lécher soigneusement le parquet afin qu’il n’y ait plus aucune trace de mon repas sur le sol. Je n’avais pas vu que le Maître m’observait. - Bien, tu es une bonne chienne ! Tu ne laisses pas de saletés derrière toi, je suis fier de toi ! Tu dois avoir besoin de soulager ta vessie. Il fait un temps magnifique, je vais donc t’emmener te soulager dehors… A ces mots je frissonnais. Allait-il vraiment falloir que j’aille dehors me soulager comme un chien ? Mais ne voulant pas contrarier le Maître qui était de si bonne humeur ce matin, je me retenais de poser des questions. Et je me répétais dans ma tête « J’obéis à tout ce que le Maître exigera de moi sans me poser de questions, j’obéis à tout ce que le Maître exigera de moi sans me poser de questions… » et je retrouvais grâce à ces mots mon calme. Le Maître m’observait discrètement, silencieusement. Il devinait ce qui se passait dans ma tête. Il avait fait exprès d’annoncer cette épreuve, voulant petit à petit effacer toute trace de pudeur chez Sa soumise, qui vivait son premier week-end de soumission réelle. Il eut un mouvement de tête approbatif lorsqu’Il vit le ...
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