1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°779)


    Datte: 24/03/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... posèrent sur ses pieds que j’embrassais du bout des lèvres, puis me redressais lentement en même temps que mes mains remontaient légèrement le long des jambes du Maître, les effleurant à peine. Lorsque mes mains atteignirent le noble sexe tant désiré, et que je me retrouvais à genoux à la bonne hauteur, ma main droite commença à caresser tendrement la verge tendue, tandis que ma main gauche s’occupait des divines couilles, pleines, ne demandant qu’à se vider. En même temps que ma main la caressait, je sortis ma langue et commençait à lécher de bas en haut la queue du Maître, comme je l’aurai fait de ma glace préférée. Je donnais des petits coups de langue sur le gland, comme une petite chienne aurait léchouiller des doigts. Puis je rentrais le gland dans ma bouche l’aspirant en même temps que je le ressortais de ma bouche, le faisant un peu plus grossir, un peu plus rougir. Je sentis la main du Maitre se posait sur ma tête et appuyant légèrement dessus, me faisant comprendre qu’il était temps d’arrêter de jouer, et qu’Il voulait que je passe aux choses sérieuses. Alors lentement, tendrement, je rentrais Sa sublime queue au plus profond de ma bouche, m’étouffant presque, essayant de respirer profondément pour ne pas avoir de haut le cœur. Pendant quelques secondes, pas plus qu’autorisé, je regardais le Maître dans le fond des yeux sans bouger d’un centimètre Sa verge au chaud au fond de ma gorge. Je rebaissais rapidement les yeux, commençant des vas et viens, alternant dans ...
    ... ma bouche resserrée autour de Sa queue, caresses de la langue, et caresses du bout de mes dents, sans pour autant que je puisse faire du mal au Maître. Plus j’accélérais le mouvement, et plus je resserrais mes lèvres, fournissant à la queue du Maître un étui chaud, humide et très ajustée. Pendant ce temps-là ma main gauche n’avait pas arrêté ses tendres massages de ses douces bourses. Jusqu’à ce que dans un râle, le Maître me maintint la tête immobile, s’enfonçant au maximum dans ma bouche offerte, et déversant Sa divine semence au fond de ma gorge, m’empêchant de pouvoir en perdre une goutte, ce que de toutes manières, je n’aurai voulu pour rien au monde ! Lorsque le Maître eut fini de se vider, et eut relâché la pression de Ses mains autour de ma tête, je m’appliquais à nettoyer toute trace de sperme sur sa queue. Lorsque j’eus fini, je me mettais à genoux, puis penchais mon buste jusqu’à ce que mon front touche le sol. - Maître, je Vous remercie humblement pour ce petit déjeuner que Vous avez bien voulu m’offrir. - Mon adorable petite chienne, ce fut un réel plaisir ! Ta bouche est des plus accueillantes, douce, chaude et humide. Je prendrais plaisir à me servir de cet orifice régulièrement comme cette nuit et là, à l’instant. Maintenant, accompagne-moi pour le reste de ton petit déjeuner. Pour l’instant je te veux à Ma disposition, donc tu vas avoir l’honneur de manger avec Moi, mais n’oublie, tu restes Ma chienne, Ma propriété, ne te sens donc pas pousser des ailes, pour ...
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