1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°779)


    Datte: 24/03/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... là où m’entraîna le Majordome. - Allez la chienne ! Soulage-toi, et vide-toi bien, il n’est pas dit que tu en auras à nouveau l’occasion avant un moment ! Et en position de chienne bien sûr, en levant une papatte arrière ! Je restais les yeux fixés au sol, essayant d’oublier la présence de toutes ces personnes inconnues. J’écartais donc largement les cuisses, et me redressait légèrement, gardant la tête baissée, toujours à quatre pattes. Mais je ne pouvais m’empêcher de rester bloquer. - Plus que 60 secondes et je te rentre, chienne, je serais toi je me dépêcherais ! Je me concentrais alors fortement, fermant les yeux, faisant le vide autour de moi, essayant d’imaginer que le Maitre était à côté de moi, et seule personne me voyant, et alors que Walter égrenait les vingt dernières secondes, je réussis à lâcher mon jet doré sur l’herbe. - Bien la chienne. Maintenant, couche-toi, allonge-toi sur le dos sur ce beau gazon et écarte bien les cuisses ! (puis s’adressant aux personnes présentes). Que tous les mâles choisis se mettent en cercle serré autour de cette femelle et faites-lui prendre sa ‘‘douche’’. Et là je vis avec effroi une dizaine d’hommes soumis et entièrement nus à quatre pattes s’approcher de moi, se relever et pisser en cœur sur mon corps, me recouvrant chaque parcelle de peau, de cheveux d’urine. J’étais mortifiée, je me sentais tellement honteuse et souillée ! Je me retenais avec peine de pleurer, sachant que Walter ne perdait aucune miette de ce qui ...
    ... m’arrivait afin de le montrer au Maitre ensuite en vidéo filmée. Mais je tremblais de tous mes membres. Là, sur un ordre laconique de Walter, la foule se dispersa et une personne que je ne vis pas commença à m’arroser à l’aide d’un tuyau d’arrosage au jet puissant, me nettoyant ainsi par cette eau froide salvatrice et vivifiante. Tout mon corps en frissonna. Walter me jeta un tas de mousse. - Relève-toi et frotte-toi chienne, il ne faudrait pas que tu souilles le Château et la chambre du Maître. Je me frottais donc du mieux que je pus, faisant rougir ma peau. Puis l’eau cessa et je sentis que l’on me frottait vigoureusement avec une serviette rêche. Le dos étant sec, la personne vient se placer devant et je reconnus Marie, la cuisinière. Elle n’y allait pas de main morte et je crus plusieurs fois que ma peau s’arrachait. Puis Walter me ramena à l’intérieur du Château, et dans la chambre du Maitre toujours vide. - Mets-toi à genoux, chienne. Lorsque je me fus exécutée, Walter me passa un bandeau noir sur les yeux, me plongeant dans l’obscurité totale. Il tira ensuite sur la laisse jusqu’à ce que je me cogne contre le lit, et tirant vers le haut me fit comprendre que je devais monter dessus. Je le fis tant bien que mal, et repris la position agenouillée une fois dessus. Walter me poussa sans ménagement en arrière, et m’attacha les mains vers l’arrière et les bras écartés. Puis il fixa mes chevilles à une barre d’écartement qu’il fixa en hauteur, car je me retrouvai les jambes en l’air ...
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