1. De Papillon De Nuit à soumise (2)


    Datte: 24/03/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    De son index, elle me fit relever la tête ; je ne parvenais même pas à soutenir son regard perçant. — Des mots, c’est bien gentil, me dit-elle avec fermeté ; mais moi, j’aime les actes concrets. Et regarde-moi pendant que je t’y autorise encore ! Je lui obéis et parvins tant bien que mal à la regarder dans les yeux. — Que voulez-vous que je fasse, Madame ? — Je te l’ai dit, il me semble, non ? Je veux que tu sois à moi corps et âme. Je te veux à mes ordres 24 heures sur 24. Serais-tu complètement conne, ou bien préfères-tu que je te le fasse entrer à ma façon dans ton petit crâne de piaf ? — Non, Madame ! Je... je vous jure de toujours faire de mon mieux pour vous satisfaire, balbutiai-je en baissant les yeux. — Bon, eh bien nous allons voir ça tout de suite, dit-elle en enlevant son index de mon menton en se relevant. Allonge-toi sur le dos. Magne-toi ! J’obéis le plus rapidement possible. Le sol était froid ; j’étais sur de la pierre, et ce qui restait de ma tunique était complétement trempé. Je frissonnais non seulement à l’idée de ce qui pourrait se passer, mais à cause de la sensation. Elle se plaça debout juste au-dessus de moi, remonta un peu sa robe, et je sentis d’un coup un liquide chaud m’arroser copieusement le visage et les cheveux. Mon visage se crispa aussitôt de dégoût. Je fermai les yeux et la bouche en réalisant la situation : elle me pissait carrément dessus ! Les dernières gouttes coulèrent sur ma poitrine nue. Le liquide, chaud à l’origine à cause de la ...
    ... température de la pièce, devint rapidement froid. Je restai à terre, inondée de pisse, souillée, humiliée à jamais. Elle finit par se retirer en soupirant de satisfaction. — Aaah, bon sang, ce que c’est agréable... dit-elle en rajustant sa robe. Allez, debout ; et tout de suite ! m’ordonna-t-elle. Je voyais sa mine réjouie de s’être libérée sur moi, et péniblement je me levai. J’avais l’impression de sentir la pisse à des kilomètres à la ronde. — Je pense qu’une bonne douche s’impose, tu ne crois pas ? Tu vas passer la nuit ici, et demain matin – enfin, plutôt tout à l’heure – je m’occuperai de ton cas. Allez, suis moi, c’est par ici ! me dit-elle en me montrant le chemin. Je la suivis, les yeux et la tête baissés. Cette situation me semblait tellement irréelle... Nous montions des escaliers en pierre ; ma tunique ne me couvrait plus que les pieds, le dos, les bras, les mains et une partie des jambes. Après une série de couloirs, elle ouvrit une porte qui donnait sur une chambre spacieuse et magnifique. Elle était dotée d’un grand lit à baldaquin, des meubles de grande qualité, et elle communiquait avec une grande salle de bain toute équipée. — Tu as la salle de bain ici, avec une douche, du savon, des shampooings pour chaque type de cheveux, des serviettes ; enfin, tout ce qu’il te faut. Ensuite tu iras te coucher. Ah, encore une chose : n’essaie pas de filer ; les fenêtres sont munies de barreaux. Bonne nuit ! me dit-elle sèchement en fermant la porte à clé derrière elle. Je ...
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