1. De Papillon De Nuit à soumise (2)


    Datte: 24/03/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... Il est écrit que tu devras m’obéir sans rechigner, te soumettre à tous mes caprices. Tu auras pour ordre impératif de me vouvoyer, me respecter, m’appeler "Maîtresse", me satisfaire, respecter les tenues vestimentaires imposées, me servir fidèlement. Interdiction formelle de me regarder dans les yeux, de discuter, de désobéir. Tu ouvriras ta gueule uniquement sous mon ordre ; tu ne jouiras qu’à condition que je te le permette. Maintenant, lis ce contrat à haute voix afin que je sache si j’ai oublié quelque chose. Je sentais son regard posé fixement sur moi. — Moi, Fran, saine de corps et d’esprit, par ce contrat... — Les règles ! me coupa-t-elle. Lis les règles, bordel ! C’est si difficile que ça ? gronda-t-elle entre ses dents. Je me raclai la gorge et énonçai à haute et intelligible voix tout ce qui était écrit sur le papier, sans oublier une seule règle ; j’en eus le vertige. C’était un vrai contrat dans lequel mon nom était inscrit, et que je devais signer en cas d’accord ; mais en même temps, avais-je réellement le choix ? Dans quoi je m’embarquais ? Je pouvais tout arrêter, lui dire d’aller se fairefoutre, m’enfuir a toute vitesse ; mais j’étais toute nue, le bureau était fermé à clé, et je n’avais plus d’outils pour m’aider en cas de fuite éventuelle. Je me voyais déjà lui obéir ; l’idée d’être traitée comme une poupée commença à me procurer une étrange chaleur. Mon esprit était brisé, je n’avais plus la moindre porte de sortie, et penser que je pourrais encore m’en ...
    ... sortir n’était qu’une illusion stupide. Sans que je ne m’en rende compte, ma main droite s’était emparée du stylo, et je signai le document attestant ma soumission officielle. Je rendis le papier à cette femme qui, en l’espace d’une petite seconde, était devenue ma Maîtresse. Elle le prit et le rangea dans un petit coffre-fort. Je restai assise, les yeux baissés, comprenant que ma vie toute entière avait basculé en une fraction de seconde. — Paaaarfait. Maintenant, viens ici, chienne ! ordonna-t-elle en claquant des doigts pour m’indiquer que je devais me placer à sa gauche. Je me levai comme un robot et obéis sans rechigner, comme le précisait l’accord signé de mon propre sang. Elle fit pivoter son siège afin de toujours me faire face. — À partir de maintenant, ta position sera à genoux, mains dessus, tête et yeux baissés : c’est toujours ainsi que tu m’accueilleras ! ordonna-t-elle en écartant largement les cuisses. Allez, positionne-toi ! Je me positionnai comme indiqué, mains sur les genoux, tête baissée, et je remarquai alors qu’elle était dépourvue de sous-vêtements. Je vis son minou rasé, et qu’elle mouillait littéralement son siège. — C’est bien... À partir de maintenant, tu ne t’appelles plus Fran. Ce nom, tu l’oublies définitivement. À la place, tu répondras à "chienne", "soumise", ou tout autre nom que je te donnerai, selon mes humeurs. Et pour toi, ce sera "Maîtresse", et uniquement ça ! me dit-elle sèchement en posant une jambe sur son bureau. C’est bien clair ? — ...