De Papillon De Nuit à soumise (2)
Datte: 24/03/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... fonçai à la salle de bain, enlevai ce qui me restait de tunique, qui était maintenant bonne pour la poubelle, et pris une longue douche. Au début, l’eau chaude raviva les blessures dues aux coups de martinet, mais je finis partrouver cela apaisant. Je me lavai plusieurs fois afin de me débarrasser de l’odeur d’urine dont je pensais être imprégnée. Une fois bien propre, je me séchai rapidement, constatai qu’elle avait dit vrai pour les barreaux : j’étais prisonnière. Je finis par m’écrouler sur le lit par-dessus les couvertures. C’était si confortable que le sommeil me gagna immédiatement. Le lendemain matin, je fus réveillée par les lueurs du soleil, déjà bien haut. Je réalisai que je n’avais même pas pris la peine de me couvrir, tant j’étais morte de fatigue. Je m’étirais comme un félin lorsque j’entendis le bruit de la serrure de ma chambre. Je fus juste à temps sous les couvertures quand la femme que j’avais vue hier fit son apparition. Je pus alors mieux la détailler : grande, brune, mince, hautaine, le visage sévère, habillée d’un peignoir. Elle pénétra dans la pièce et ferma la porte derrière elle. Elle s’approcha de moi en me regardant fixement, s’assit à coté de moi sur le lit et retira violemment les couvertures, dévoilant ma nudité que je n’osai pas cacher. — J’espère pour toi que tu n’as pas oublié la promesse que tu m’as faite cette nuit ? m’interrogea-t-elle en prenant fermement ma mâchoire dans une de ses mains et en affichant un petit sourire en coin. — Non, ...
... Madame, dis-je en l’évitant du regard. — Bien ! Il me faut immédiatement ton prénom ainsi que ton âge. — Mon prénom ? — Oui ! Alors, ça vient oui ou merde ? — Je... Je m’appelle Fran, je suis Vietnamienne et je suis âgée de 18 ans, Madame, balbutiai-je. — Intéressant... Enfile un peignoir, prends ton petit déj, et retrouve-moi dans mon bureau quand tu auras fini ; mon majordome t’y conduira, dit-elle en tirant un cordon suspendu à ma gauche, que je n’avais même pas remarqué. J’obéis rapidement. J’allai dans la salle de bain, enfilai un peignoir blanc, et un homme entre deux âges fit son apparition peu de temps après. — M’avez vous appelé, Madame ? demanda-t-il. — Oui. Veuillez, s’il vous plaît, conduire cette jeune fille à la cuisine et préparez-lui un petit déjeuner. Ensuite, emmenez-la dans mon bureau. — Bien, Madame la baronne. Nous sortîmes tous trois de la chambre et je pris un bon petit déjeuner. Peu après, je me retrouvai dans le bureau de la baronne, où elle était assise à travailler, je pense. La porte se referma à clé derrière moi. Qu’allait-il encore se passer ? — À poil ! ordonna-t-elle sans même me regarder. Je déglutis péniblement, mais je quittai le peignoir qui tomba à terre. — Assieds-toi, me dit-elle en me désignant une chaise face à elle. J’obéis, la peur au ventre. Pourquoi devais-je me déshabiller ? Elle me présenta alors un stylo-bille avec la feuille de papier qui venait à l’instant de sortir de son imprimante. — Voici ton contrat, me dit-elle sèchement. ...