1. Deux jolies petites perles


    Datte: 25/03/2021, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, jeunes, Masturbation Oral pénétratio, init, confession, amourcach, prememois,

    En cette fin de juin, nous avions rendez-vous, ma jeune sœur Perrine et moi chez Maître Lussac, notre notaire et ami de la famille. Il y avait maintenant presque six mois que nous avions perdu nos parents dans un accident de voiture. Une plaque de verglas sur une petite route des Alpes et nos existences, jusqu’alors gaies et insouciantes au sein d’une famille heureuse avaient chaviré dans une profonde tristesse. Du jour au lendemain, nos vies furent bouleversées par ce drame épouvantable. J’allais avoir vingt-trois ans, j’étais en dernière année à HEC et ma sœur Perrine de cinq ans ma cadette suivait depuis un an des études de danse moderne. Il y a trois ans, j’avais emménagé ma petite garçonnière dans deux chambres de bonnes de l’immeuble où nous habitions, ce qui présentait l’avantage de garder le lien familial tout en ayant une totale indépendance. Mais je prenais la plupart de mes repas chez mes parents. Ces derniers temps, Sonia, une jolie suédoise de 27 ans, en stage pour un an à l’École, aussi douée pour les études que pour faire l’amour, était la dernière de mes conquêtes et passait ses nuits avec moi. Elle était professeur dans un institut commercial de Stockholm, mariée et mère d’une petite fille de trois ans. Mari et femme étaient convenus de s’accorder la plus grande liberté sexuelle sachant tous deux qu’une aussi longue séparation leur serait pénible à supporter. Sonia retournait de temps en temps voir sa petite fille qui lui manquait beaucoup. Sa jeune sœur ...
    ... Astrid avait pris le ménage en mains, prenant soin avec une égale efficacité de la petite fille et de son papa. Sonia me dit que cet arrangement familial lui convenait parfaitement et que durant ses courtes visites, on ne changeait rien à l’ordre établi, sinon que sa présence apportait une touche de piment appréciée de tout le monde. Après la mort de mes parents pour ne pas laisser Perrine vivre seule dans ce grand appartement, je redescendis vivre avec elle, ce qui fut pour nous deux d’un grand réconfort. Elle ne vit aucun inconvénient à ce que quelque temps plus tard, Sonia vienne vivre avec nous. Les deux filles s’entendaient à merveille et Sonia faisait un effort pour aiguiller la conversation sur différents sujets qui pour un temps nous faisaient oublier notre peine. Nous n’avions, Dieu merci, aucun souci d’ordre matériel. Nous étions majeurs tous les deux. Restait malgré tout à régler la succession et nous en avions évidemment chargé Me Lussac. Il nous reçut avec sa gentillesse habituelle. Il nous avait connus tout petits et avant d’entrer dans le vif du sujet, il conversa longuement avec nous, s’enquérant de nos problèmes respectifs et de nos études. Quand vint enfin la question de la succession, je le sentis soudain embarrassé. Il cherchait ses phrases, se reprenait et je me demandai même s’il n’avait pas une mauvaise nouvelle à nous annoncer concernant l’héritage. Je savais nos parents assez fortunés mais auraient-ils fait dernièrement de mauvais placements qu’il ...
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