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Deux jolies petites perles
Datte: 25/03/2021, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, jeunes, Masturbation Oral pénétratio, init, confession, amourcach, prememois,
... Perrine n’arrêtait pas de pleurer tout en répétant que son vrai père était celui qui l’avait élevée et l’avait aimée tendrement depuis sa plus tendre enfance, cet homme qu’elle avait toujours admiré et dont elle était fière d’être la fille et non le sale type qui n’avait pas eu le courage de reconnaître son enfant. Il allait sans dire qu’aussi bien ma petite sœur que moi-même n’envisagions pas de changement entre nous. Nous voulions rester unis comme par le passé, et plus encore maintenant en raison de cette situation nouvelle. Cinq semaines plus tard nos cours à tous deux prenaient fin et je proposai à Perrine d’aller nous reposer quelque temps dans notre mas en Provence. Sonia de son côté avait un mémoire à terminer à l’École et nous rejoindrait un peu plus tard. * * * Le long voyage de Paris jusqu’au Luberon nous avait paru interminable mais sitôt arrivés au Mas Rieutort nous retrouvâmes l’atmosphère de nos vacances d’antan. Une fois la maison ouverte et la voiture déchargée, Perrine partit en courant et se roula en riant dans l’herbe haute du pré. Je la voyais joyeuse et détendue pour la première fois depuis des semaines. Avait-elle oublié la tragédie qui nous avait frappés et les révélations surprenantes de Me Lussac. Bien sûr que non. Mais soudain le retour dans cette vieille maison où des années durant nous n’avions connu que joie et insouciance en famille, la faisait exploser d’allégresse. Le matin même nous quittions un Paris pluvieux et maussade et nous nous ...
... retrouvions ici, sous le chaud soleil de ce début de Juillet, avec l’impression d’avoir laissé derrière nous cette tristesse qui nous étreignait depuis des semaines. Vers sept heures nous descendîmes au village pour faire quelques achats. Les commerçants que nous connaissions depuis longtemps étaient tous au courant du drame et nous adressèrent gentiment quelques mots de sympathie. Après avoir improvisé un léger repas, nous n’avons pas tardé à aller nous coucher. Nous couchions à l’étage dans deux petites chambres mansardées attenantes. Le matin nous prenions le petit déjeuner sur la terrasse inondée de soleil, simplement vêtus de nos vêtements de nuit : pour moi un simple boxer et Perrine une légère chemise qui avait du mal à couvrir les parties les plus appétissantes de son anatomie. — Tu te rends compte… Elle a trois ou quatre ans cette chemise. Je l’ai retrouvée au fond du placard… Je devais avoir quinze ans à l’époque.— Effectivement, tu as beaucoup changé depuis…. Je n’osais pas ajouter qu’entre temps, elle avait aussi mis pas mal de poitrine et un joli petit derrière bien rond. Nous passions nos journées à flâner, lire, nous promener dans les bois environnants, faire des courses le matin, parfois la sieste l’après-midi. Jamais nous ne reparlions de l’étrange situation qui était maintenant la nôtre : tout avait été dit à Paris. Rien n’était changé entre nous : Perrine restait ma petite sœur et j’étais toujours son grand frère, rien de plus ou plus exactement rien de moins. Et ...