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Deux jolies petites perles
Datte: 25/03/2021, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, jeunes, Masturbation Oral pénétratio, init, confession, amourcach, prememois,
... surtout je la retrouvais gaie, rieuse et pleine d’humour comme autrefois. Jour après jour, je remarquai un certain changement dans son attitude. Dans sa façon de s’habiller tout d’abord. Certes nous étions en été et elle avait apporté de Paris un tas de vêtements légers qu’elle ne pouvait mettre qu’ici. Des tee-shirts moulants et très décolletés, des minijupes ultra courtes, des petits shorts adorables mais apparemment assez peu de soutiens-gorge. Bien sûr, tout ceci lui allait à ravir et elle le savait fort bien. Par ailleurs je n’irais pas jusqu’à dire qu’elle était parfois impudique mais il est vrai qu’elle se tenait parfois dans des positions qui offraient à mon regard d’agréables points de vue, ne faisant pas beaucoup d’efforts pour rabattre sa jupe ou cacher un sein qui s’échappait d’une blouse mal boutonnée. Rien de tout cela n’était pour me déplaire, loin de là. Je me réjouissais au contraire de la voir maintenant si gaie et enjouée pour la première fois depuis des mois. Son attitude nouvelle n’avait rien de provoquant mais elle éveillait en moi des sentiments nouveaux. Je la voyais toujours comme ma petite sœur mais en même temps comme une adorable jeune fille. Je n’avais jusqu’à présent jamais porté sur elle de regards empreints de désir et j’espérais bien avoir toujours le même comportement à son égard. Mais le seul fait de me poser cette question ne signifiait-il pas que mon inconscient envisageait maintenant des possibilités nouvelles. Peu à peu il mettrait ...
... ma raison au supplice pour infléchir sa résistance. Tant que je pensais qu’il existait un lien biologique entre nous deux, la question ne se posait même pas. Il n’est nul besoin d’expliquer à un garçon sain et normalement constitué qu’il ne doit pas désirer et encore moins toucher sa petite sœur. Dans nos familles l’inceste est un non-dit. Généralement quand on en parle il est déjà trop tard. Maintenant, j’allais sans doute devoir lutter pour résister à des tentations grandissantes. Car Perrine était ici beaucoup moins distante qu’à Paris, plus joueuse, plus taquine. Elle parlait beaucoup, s’amusait d’un rien, essayait de m’entraîner dans des discussions futiles. J’avais parfois l’impression qu’elle s’enivrait de rires et de paroles pour surmonter l’angoisse générée par les événements récents. La mort de nos parents sans doute mais aussi l’énormité de cette découverte subite, son père qui n’était plus son vrai père, son frère qui n’était pas son vrai frère… Je comprenais d’autant mieux que j’étais moi aussi symétriquement identique. * * * Nous étions au mas depuis une dizaine de jours quand le temps changea brusquement. Un après-midi le ciel se couvrit, tout au long de la soirée l’orage menaça et éclata soudain au milieu de la nuit. Je savais que ma petite sœur avait une peur panique des orages et dans le passé, au premier coup de tonnerre, elle se précipitait dans ma chambre et se réfugiait dans mon lit. Nous nous amusions tous de cette crainte irraisonnée. Il lui arrivait ...