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Deux jolies petites perles
Datte: 25/03/2021, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, jeunes, Masturbation Oral pénétratio, init, confession, amourcach, prememois,
... main arriva sur mon bas-ventre, elle abaissa mon slip et m’en débarrassa prestement. J’aurais dû réagir tout de suite au lieu de quoi je la laissai faire, lâchement Elle saisit doucement mon pénis dur comme un roc et s’exclama : — Tommmm… C’est un monstre ! J’éclatai de rire. J’étais certes conscient d’avoir un membre de taille respectable et j’en avais été maintes fois félicité par des compagnes qui pour la plupart savaient de quoi elles parlaient. Mais je restais malgré tout dans la norme correspondant à mon mètre 80. Bien sûr, la menotte de ma petite sœur avait du mal à en faire le tour… mais en serrant un peu elle y parvint. Elle joua avec un bon moment en me posant des tas questions, le manipulant maladroitement de haut en bas, le décalottant et s’enquérant de savoir si elle ne me faisait pas mal ou si je ne risquais pas d’éjaculer brusquement. — Tu comprends, me dit-elle. J’en avais déjà vu sur Internet, bien sûr, mais c’est le premier que je touche. Finalement il est gros mais il est tout doux. (Après un instant de réflexion.) Je l’appellerai Gros Minet. Je suis sûre qu’on va bien s’entendre tous les deux. Mais de suite après sa main descendit et découvrit mes testicules. D’instinct elle les palpa avec précaution. Nouvel étonnement. — Ça alors ! C’est drôle. Je ne savais pas qu’il y avait comme des gros noyaux à l’intérieur. Ils roulent sous les doigts. C’est marrant ! Elle me tripota un long moment. Je laissai faire. J’étais au paradis d’être câliné de la sorte ...
... et en même temps au supplice de m’interdire de réagir. Elle se serra tout contre moi. À l’instant où, n’y tenant plus, j’allais me décider enfin à la caresser à mon tour, elle dit : — Je crois que tu es un peu fatigué. On va dormir maintenant. * * * La soirée fut délicieuse. Le repas fut très gai. Ma Petite Fée était d’une humeur charmante, riant d’un rien. Je crois qu’elle avait un peu trop bu de vin. Disons que sans être ivre, elle était un peu pompette, ce qui m’amusait beaucoup ne l’ayant jamais vue ainsi. Le téléphone sonna. C’était Sonia. Elle avait promis de venir passer quelques jours avec nous avant de repartir en Suède. Elle serait là dans deux jours. Perrine était ravie. Moi aussi. Mon abstinence forcée commençait à me peser. — On va bien s’amuser… Au fait où va-t-elle dormir, celle-là ? demanda-t-elle d’un air malicieux. Enfin on verra… on s’arrangera. Nous allâmes faire une petite promenade après le repas sur la route de Gordes. Perrine me tenait le bras, amoureusement. La nuit était splendide, le ciel étoilé. Elle me dit en riant qu’il allait faire orage et que par prudence cette nuit elle viendrait se réfugier dans mon lit. J’avais éteint la lumière mais quand elle entra dans la chambre éclairée par un rayon de lune je m’aperçus qu’elle était entièrement nue. — Hier soir j’avais passé une chemise pour venir chez toi mais d’habitude je dors nue. Ça te fait rien j’espère ? Si, ça me faisait beaucoup de choses, au contraire. Et elle n’allait pas tarder à s’en ...