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Deux jolies petites perles
Datte: 25/03/2021, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, jeunes, Masturbation Oral pénétratio, init, confession, amourcach, prememois,
... relations plus intimes. Je comprenais mais je désapprouvais. Je m’empêtrais dans des phrases compliquées d’où ne ressortait rien de bien précis sinon que ce serait difficile pour moi de résister si elle continuait de la sorte. Je pourrais admettre que nous nous fassions quelques câlins si l’occasion s’en présentait comme elle souhaitait tant, mais sans toutefois satisfaire son désir ultime. Ce qu’elle approuva sans hésiter. Nous reprîmes le chemin. Elle marchait en tête et ne faisait plus la moue. Elle me lança par-dessus l’épaule en rigolant : — Tu as l’air de faire un effort surhumain… Je suis vraiment si moche qu’il faille que tu te violentes pour me promettre ce petit plaisir ? La garce ! Elle savait bien qu’elle était belle comme le jour et que mes vraies raisons étaient tout autres. * * * Je ne vous étonnerai pas si je vous dis que la sieste ce jour-là ne fut pas… de tout repos. Perrine s’invita dans mon lit simplement vêtue – si l’on peut dire – d’une culotte minuscule. — Ça te gêne pas ? me dit-elle. Il fait si chaud aujourd’hui ! Je ne l’avais jamais vue jusqu’alors nue ou presque. Je découvrais pour la première fois ses jolis petits seins fièrement dressés. Mais alors que je résistais au désir de les caresser elle me prit une main, la posa sur sa poitrine : — Tu peux toucher si tu veux. Ils vont pas te mordre. J’étais gêné et ravi à la fois. Je ne pus résister au désir de titiller l’un après l’autre ses jolis tétons et puis, sans réfléchir, de les faire durcir en ...
... les agaçant du bout de la langue. J’ai du mal à expliquer mon état d’âme du moment : un sentiment profond de culpabilité et en même temps un envie effrénée de pousser un peu plus loin mon avantage. Le sourire béat de Perrine m’y invitait à n’en pas douter. Je la sentais heureuse de ces préliminaires qui lui laissaient espérer une suite conforme à ses désirs. Dès lors, c’est elle qui prit l’initiative des opérations. Je m’efforçai de rester passif tandis que peu à peu, toutes les parties de mon corps subissaient l’assaut de ses caresses. Je savais bien qu’à la laisser faire ainsi sans protester, je l’autorisais de facto à poursuivre son exploration. Mais je sentais bien qu’à la longue, je cédais du terrain avec un plaisir indicible et que tout retour à la situation antérieure serait vain. J’étais à la fois effaré par son audace et en même temps dans la crainte qu’elle s’arrête brusquement, prenant conscience qu’elle transgressait un tabou. Mais non, j’étais idiot. Il n’y avait pas de tabou dans son esprit. Elle était dans les bras de l’homme dont elle avait envie, à fleur de peau si je puis dire et pour le moment son grand frère était enfoui au fond de son cœur et la laissait en paix. Je renonçai à l’idée de lui faire des reproches, mais le voulais-je vraiment ? Et je gardai donc un silence seulement entrecoupé de quelques gémissements de plaisir. Elle au contraire était gaie comme un pinson, n’arrêtant pas commenter ses découvertes et de me demander mes appréciations. Quand sa ...