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Deux jolies petites perles
Datte: 25/03/2021, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, jeunes, Masturbation Oral pénétratio, init, confession, amourcach, prememois,
... plaisir. Elle décalotta mon gland et le suça goulûment. Puis elle s’y reprit à plusieurs fois pour engloutir mon sexe dans sa bouche. Du moins elle n’allait plus pouvoir parler pendant un moment contrairement à son habitude. Sa main toujours serrée allait et venait régulièrement et je sentais que je n’allais pas tarder à jouir. J’attendis l’extrême limite et saisissant sa chevelure à deux mains je la détachai à grand peine de mon pénis et éjaculai sur mon ventre et ma poitrine. De longues giclées qui évitèrent de justesse son petit minois ébahi. Elle se haussa à ma hauteur et après m’avoir tendrement embrassé se livra comme toujours à divers commentaires sur les événements récents : — Tu as aimé Tommy ? Je me suis bien appliquée, tu sais. Sonia m’avait dit qu’elle te branlait, c’est bien comme ça qu’on dit, je crois ? Alors j’ai voulu essayer. Mais je ne croyais pas que ça arriverait si vite. Il faut dire qu’il y avait longtemps que je te faisais souffrir, pauvre chéri… (une pause) Je ne suis pas contente que tu m’aies empêchée de rester jusqu’à la fin. C’est pas gentil. Remarque je ne croyais pas qu’il y en aurait autant, vu qu’il y a ces noyaux au milieu… J’ai envie de le goûter, je peux ? Sans attendre ma réponse elle se pencha et lécha doucement quelques gouttes de sperme sur ma poitrine. Elle ne me donna pas son appréciation mais exigea que la prochaine fois elle voudrait que je finisse dans sa bouche… Promis ? ajouta-t-elle. Elle n’eut pas trop longtemps à attendre. * ...
... * * À la fin de la semaine nous partîmes à Gordes chercher Sonia à l’arrivée du car. Pour des raisons similaires, Perrine et moi étions aussi excités l’un que l’autre par sa venue. Je n’avais pas fait l’amour depuis plusieurs semaines et même si quelques masturbations hâtives m’avaient provisoirement apaisé les sens, je savais que Sonia saurait être nettement plus efficace. Ma petite sœur, quant à elle, avait hâte de relater à son amie les nouveaux plaisirs auxquels elle s’adonnait sans aucun remords avec celui qui maintenant dans son esprit n’était plus qu’à peine un peu son grand frère. Les retrouvailles entre les deux filles furent très chaleureuses. Sonia me dit qu’elle était ravie de voir Perrine si gaie et si détendue. Lorsqu’elle sut que mon esprit se refusait à voir en elle autre chose que ma petite sœur adorée et que je devais surmonter une gêne terrible pour lui faire les gros câlins qu’elle quémandait, elle me dit : — Il y a une chose que tu ne sais pas, Tom, mais que moi je sais depuis longtemps parce qu’entre filles on se confie des secrets qu’on n’ose pas dire aux garçons. Je savais depuis longtemps que ta petite sœur Perrine te désirait follement. Plusieurs occasions s’étaient présentées à elle de coucher avec des garçons, tu t’en doutes. C’est toi qui occupais toutes ses pensées. Mais tu étais son frère et elle savait que vous ne pourriez pas braver l’interdit de l’inceste. Quant à toi, tu étais à cent lieues d’imaginer ce qui lui torturait l’esprit. Pour toi, ...