Deux jolies petites perles
Datte: 25/03/2021,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
fbi,
jeunes,
Masturbation
Oral
pénétratio,
init,
confession,
amourcach,
prememois,
... au contraire, Perrine était ta sœur, sans plus. Tu la trouvais belle, ravissante mais en quelque sorte asexuée. Du reste le beau gosse que tu es, avait toujours dans son lit une jolie fille à sa disposition ce qui lui évitait de fantasmer sur sa sœurette. Sonia savait donc depuis longtemps ce que venait de me dire Perrine ces jours derniers au Mas Rieutort mais elle ne m’en avait évidemment jamais parlé. Elle me consacra le début de cette première soirée. Après avoir longuement cajolé Perrine sans sa chambre, elle vint me rejoindre dans mon lit où je l’attendais impatiemment. Nous nous livrâmes tous les deux avec délices à nos caresses habituelles. Après un an de vie commune ou presque, nous les connaissions par cœur mais elles nous procuraient toujours les mêmes frissons. Ce soir-là malgré tout, on abrégea et très vite nous fîmes l’amour comme des affamés. Je crois que de sa chambre, à travers la mince cloison, Perrine dût participer à nos ébats tumultueux. Au cours des nuits suivantes, Perrine s’invita dans notre lit. D’abord spectatrice, elle participa rapidement à nos amours. J’adorais voir les deux filles s’embrasser amoureusement et invariablement continuer par un adorable soixante-neuf. À cause de la similitude de leur taille, de leurs seins, de leur petit cul potelé et même de leur blonde chevelure, il était difficile de distinguer, dans la demi obscurité que nous affectionnions pour nos amours, quelle était l’une et quelle était l’autre. Mais en y regardant de plus ...
... près ma petite sœur avait une jolie toison bien taillée en triangle tandis que le pubis de Sonia totalement épilé ressemblait à celui d’une fillette de dix ans. Je faisais l’amour à Sonia dans des positions invraisemblables sous les yeux émerveillés de Perrine qui se permettait d’agrémenter nos exploits par quelques attouchements ou baisers bien placés. Sonia autant que moi appréciait ces petits extras. Mais à aucun moment, et même si j’étais – ou plutôt nous étions, Perrine et moi – torturés d’envie, il ne s’est rien passé… pour parler correctement. Sonia ne savait pas que nous n’étions pas vraiment frère et sœur. Elle me traitait d’imbécile et se moquait de moi : — Je te garantis qu’en Suède, j’en connais un qui n’aurait pas hésité, à ta place. Heureusement que je suis là sans quoi y a longtemps qu’elle serait passée à la casserole la sœurette. (Elle avait vraiment perfectionné son français) Souvent je retournais dans mon lit et laissais à Sonia le soin d’apaiser les sens en feu de Perrine. La veille au soir du départ de Sonia, il y avait à la télé un match de foot que je voulais voir absolument. OM/PSG toujours fertile en rebondissements autant sur le terrain que dans les tribunes. Les filles n’étaient pas intéressées. Après quelques sourires en coin très significatifs, elles s’éclipsèrent discrètement dans la chambre de Perrine. Je les entendis rire et chahuter pendant un long moment. Le match dura longtemps car il y eut des prolongations. Quand je montai les rejoindre je ...