Deux jolies petites perles
Datte: 25/03/2021,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
fbi,
jeunes,
Masturbation
Oral
pénétratio,
init,
confession,
amourcach,
prememois,
... bingo, j’avais trouvé, elle portait les boucles, c’était donc Sonia. Je me mis en position avec précaution pour ne pas écraser Perrine qui était au-dessous, m’accrochai à Sonia en serrant mes mains sur sa poitrine et je la pénétrai sans autres ménagements tant l’envie me tenaillait au corps. Ma verge allait et venait dans son vagin trempé. Je sentais entre mes jambes les coups de langue de Perrine qui à coup sûr, n’en perdait pas une goutte. Les gémissements de plaisir de Sonia qui tête baissée pourléchait la chatte juteuse de Perrine me parvenaient assourdis. Je la sentis bientôt s’agiter de plus en plus frénétiquement sous moi et je compris qu’elle allait bientôt être submergée par un orgasme. Il se passa alors un phénomène curieux. Dans mon inconscient, en quelques secondes je vis progressivement disparaître Sonia de mon esprit et c’est Perrine, ma petite sœur qui peu à peu prit sa place. Malgré moi, je l’avais substituée à Sonia dans ma tête Et c’est Perrine que j’imaginais sous moi vibrant sous mes coups de boutoir, dégoulinante, gémissante, jouissante de plaisir, un plaisir qui semblait ne plus vouloir la quitter. Avec une extrême délectation, je lâchai enfin ma semence au plus profond d’elle alors qu’un dernier râle s’échappait de sa gorge. Les spasmes s’atténuèrent et plus tard nos corps se défirent doucement. Sonia alluma une lampe de chevet. Perrine s’assit près de moi sur le lit, radieuse. Elle m’embrassa amoureusement puis elle pointa ses index sur les lobes de ...
... ses oreilles où brillaient les deux jolies perles de Sonia. Elle me dit avec un petit sourire ingénu : — Elles me vont bien, tu ne trouves pas ? C’est un cadeau de Sonia… (Puis après un temps d’arrêt) C’était génial, non ? De quoi parlait-elle au juste : du petit subterfuge qui lui avait permis finalement de faire l’amour avec moi ou de l’extrême jouissance que nous venions de partager ? Des deux, vraisemblablement, du moins le croyais-je. * * * Cet été nous nous sommes tous retrouvés en famille au Mas Rieutort, comme chaque année. Nous étions assis sur la terrasse ombragée. Le mari de Perrine est parti avec les enfants jouer au fond du pré. Charlotte, ma fiancée du moment est rentrée dans la maison pour chercher des boissons. Pas tout à fait innocemment, j’ai dit à Perrine : — Je vois que tu portes toujours les mêmes boucles d’oreilles.— Oui. Je les aime bien. C’était le cadeau d’adieu de Sonia, tu te souviens ? Diable si je me souvenais. Elle devait bien s’en douter la coquine. Je la sentais un peu gênée tout de même. Mais elle continua : — Le soir où elle me les a données, j’ai voulu les mettre tout de suite. (Elle hésita un instant) Voilà pourquoi… enfin… je veux dire… voilà pourquoi tu t’es trompé. Il n’y avait aucun calcul de ma part, Tom, tu peux me croire. Je n’eus pas le temps de répondre. Charlotte sortait de la maison avec les jus de fruits. Les enfants revenaient en courant du fond du pré avec leur papa. Tout était très bien ainsi. Souvent le hasard fait bien les ...