1. Deux jolies petites perles


    Datte: 25/03/2021, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, jeunes, Masturbation Oral pénétratio, init, confession, amourcach, prememois,

    ... amoureux. Je ne la tenais pas quitte pour autant et lui fis remarquer qu’elle en était à l’origine. Ce qu’elle convint du reste de bonne grâce. Et j’ajoutai : — Souviens toi, Petite Fée (c’est ainsi que nous l’appelions souvent autrefois) nous nous sommes promis qu’il n’y avait rien de changé. Nous devions rester frère et sœur, comme par le passé. Mais tout à l’heure nous ne sous sommes pas conduits comme un frère et une sœur… loin de là. Ce n’est pas bien, ce que nous avons fait. Dès le départ nous aurions dû… Elle m’interrompit brusquement — Oui je sais, c’est de ma faute. J’aurais dû m’échapper de ton lit dès que j’ai ressenti le plaisir de tes caresses. (Puis, élevant la voix) Et même je vais te dire : je n’aurais pas dû venir dans ton lit de peur que tu me calmes comme autrefois quand j’étais petite, malgré la trouille bleue que me fout le tonnerre… Tu t’en fiches, toi. C’est ça, pour toi être frère et sœur ? Elle était vraiment courroucée. Elle se détacha brusquement de moi, se tourna de l’autre côté et fondit en larmes. Je me sentis à la fois bête et très malheureux d’avoir provoqué ce gros chagrin. Je me rapprochai d’elle, la serrai dans mes bras et tentai de la consoler : — Ne pleure plus Petite Fée. Je suis un imbécile. Je ne te reproche rien. Après tout nous ne sommes pas maîtres de nos pensées… ni de nos désirs. Tu sais moi aussi j’étais…— Tu parles ! Tu crois peut-être que je n’ai pas senti que tu bandais comme un cerf ? J’aurais parlé plutôt d’une grosse ...
    ... érection, mais ma petite sœur ne s’embarrassait pas de mots compliqués. Un instant plus tard, enfin apaisée elle reprit : — Je n’ai que toi Tom. Tu es tout pour moi… tu comprends ? Tout… tout à la fois… Bien sûr que nous sommes toujours frère et sœur… enfin maintenant de cœur seulement ; mais je pensais aussi que… enfin tu me comprends… si on a envie d’un petit câlin maintenant on peut… enfin moi, en tout cas, j’en avais bien envie… Je restai sans voix. Soudain je voyais clair en elle. Alors que j’avais réussi, malgré quelques pensées furtives qui avaient traversé mon esprit, à rester maître de moi et paraître à ses yeux comme le grand frère irréprochable que j’avais toujours été, elle avait de son côté embrouillé ses sentiments au point de voir en moi en une seule personne son frère et un amoureux. Allongés côte à côte dans la pénombre, nous avons parlé une longue partie de la nuit. Enfin, c’est surtout elle qui a parlé. Nous n’avions jamais eu de secrets l’un pour l’autre mais elle me demanda si elle pouvait se confier librement et lui pardonner d’avance ce qu’elle allait me dire. — C’était il y a à peu près un an ; quelque temps après que Sonia était arrivée à Paris. Je l’aimais bien, tu le sais. Je la trouvais adorable et je cherchais toutes les occasions de monter vous voir quand je savais qu’elle était là. Tu t’en étais rendu compte, sans doute, non ? Bref un dimanche matin sachant que tu devais partir de bonne heure pour faire ton jogging, je suis montée la voir. Elle était ...
«12...567...17»