Deux jolies petites perles
Datte: 25/03/2021,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
fbi,
jeunes,
Masturbation
Oral
pénétratio,
init,
confession,
amourcach,
prememois,
... encore couchée et comme il faisait frais, elle m’a invitée à venir dans votre lit. Voilà… tu devines le reste. Elle m’a embrassée et je n’ai pas résisté à ses caresses. Tu n’es pas jaloux au moins ?— Que tu es bête… Bien sûr que non. Je savais que Sonia aimait aussi les filles et que tu lui plaisais beaucoup. Elle me disait souvent qu’elle avait envie de toi ; aussi je n’ai pas été étonné quand elle m’a dit que vous vous étiez donné un peu de plaisir. Mais je ne savais pas que toi aussi tu étais… C’était la première fois ?— Pas exactement. Mais d’abord, je ne suis pas lesbienne, enfin, je ne crois pas. Même si je n’ai encore jamais couché avec un garçon… Tu sais, entre copines au lycée à quinze ou seize ans, c’est fréquent mais ça ne va pas bien loin. Juste des bisous et quelques attouchements. Mais avec Sonia c’était… enfin… c’était autre chose, quoi ! Ce matin-là, le lit était imprégné d’une odeur indéfinissable, très troublante. Elle me dit que vous aviez fait l’amour avant ton départ et j’ai compris que l’odeur que je sentais était sans doute le mélange de vos sueurs et de… disons vos sécrétions qui avait imprégné les draps. Et tout en me caressant, elle n’arrêtait pas de me parler de toi, de me donner des détails intimes sur vos ébats, sur la façon dont tu lui faisais l’amour, sur tes performances… Je sais tout de vous deux Tom… et de toi surtout. De retour dans ma chambre, je me suis masturbée mais j’avais dans le nez cette odeur enivrante et surtout je pensais à toi. ...
... Je m’imaginais à la place de Sonia et tu me faisais toutes ces choses qu’elle m’avait décrites une heure auparavant avec beaucoup de précisions. Tu peux pas savoir, Tommy comme j’ai joui ! C’était merveilleux. Je t’ai peut-être choqué mais c’est la vérité. Et depuis, je me caresse souvent avec toi dans mes pensées et j’y prends un plaisir fou. J’étais ébahi par sa confession. Je comprenais bien qu’à son âge, elle avait des désirs qu’il lui fallait assouvir… Mais que je sois l’objet de ses fantasmes me laissait pantois. J’avais du mal à imaginer la réciprocité. Je n’irai pas jusqu’à dire que la vue des courbes de Perrine me laissait de marbre. Nous vivions dans le même appartement et il m’arrivait parfois de la surprendre dans des tenues plutôt légères. Et encore plus souvent ces temps-ci au Mas. Mais même si j’étais parfois légèrement émoustillé, je n’avais pas de mal à réfréner rapidement le petit émoi que cela suscitait en moi. — Tu me pardonnes ma franchise ? Tu sais, j’avais honte de ce qui m’arrivait. J’aurais voulu pouvoir me maîtriser mais je n’y arrivais pas. C’était plus fort que moi.— Tu en parles au passé, comme si tout ça était fini.— Non, loin de là. Je continue. Tous les soirs je nous imagine tous deux nous livrant à des câlins délicieux et je t’assure que dans mes pensées tu es drôlement plus audacieux que tantôt pendant l’orage… Mais j’espérais que maintenant, sachant que tu n’es pas mon vrai frère, tu allais enfin pouvoir concrétiser mes désirs. Mais après ta ...