1. Le professeur et l'étudiant


    Datte: 27/03/2021, Catégories: hh, hbi, hplusag, jeunes, profélève, douche, intermast, Oral hdanus, hsodo, init, inithh, h+prof,

    ... aussi, même votre honte fait partie du plaisir, celui de l’impudeur, celle de se laisser aller. Tous les écrivains que vous avez lus cette année ont osé explorer leur désir… À ce moment précis, je dois dire que j’étais moi-même sur le point de perdre mes moyens de professeur, je ne savais plus vraiment ce que je disais. Il était là, près de moi, désemparé. — Détendez-vous, lui dis-je dans un souffle. D’une main posée sur son épaule gauche, je le poussai doucement à s’étendre contre le dossier du canapé. Il était à présent presqu’allongé, les yeux à demi fermés, le souffle court. Je décidai alors de le faire basculer. Pendant que ma main droite lui massait la poitrine tout en le maintenant allongé, ma main gauche lui caressait la cuisse, et se rapprochait peu à peu de son entrejambe. Je pouvais deviner sous l’étoffe que son sexe était à demi-bandé. N’y tenant plus, j’ai posé ma main sur sa bite. Il s’est alors abandonné dans un soupir. J’ai su alors qu’il était à moi, qu’il allait être ma chose. — Ma parole, tu bandes comme un vrai pédé quand je te touche. Est-ce que tu aimes ça, te faire caresser par ton prof ?— Oui, j’aime ça, répondit-il d’une voix inaudible. Mes mains ont exploré pendant un court instant son corps à travers ses vêtements, comme pour en prendre possession, m’assurer de sa docilité. Puis, j’ai entrepris de déboutonner son pantalon, d’ouvrir sa braguette, et j’ai commencé à fouiller son caleçon. J’ai senti sa bite, toute chaude, roulant et vibrant de ...
    ... plaisir à se faire toucher pour la première fois par un homme. Nicolas poussait des soupirs plus longs et plus profonds. Je le regardai se mordre les lèvres. J’ai eu peur un instant qu’il n’aille jouir tout de suite. — Tu bandes vraiment comme une petite salope ! Visiblement, il était trop à l’étroit dans son caleçon que je fis glisser avec son pantalon jusqu’à mi-cuisse. J’eus alors le souffle littéralement coupé devant la scène qui s’offrait à moi, ce mélange de pudeur et d’impudeur. J’étais particulièrement surpris par le contraste entre la finesse de ses traits, de son corps, et la quasi rusticité de sa bite : elle était grosse, longue, veineuse, luisante, et à demi décalottée par mes caresses précédentes. J’entrepris de la caresser de nouveau, d’abord du bout des doigts, descendant le long de la hampe jusqu’aux couilles que je pris dans mes mains, puis je tirai doucement sur le prépuce pour dénuder complètement son gland violacé, et j’ai commencé à le masturber. Pendant tout ce temps, la respiration de Nicolas s’était muée en une succession de soupirs irréguliers, sentant qu’il allait jouir, j’ai arrêté mes caresses. — Déshabille-toi ! Il enleva maladroitement et rapidement ses vêtements pour se retrouver complètement nu, assis près de moi. J’approchai, tremblant, mes lèvres de son cou que j’effleurai, que je butinai, et je lui chuchotai à l’oreille, pendant que mes mains avaient repris possession de son corps : — Il y a longtemps que je te veux, que je te vois résister et en ...
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