1. Le professeur et l'étudiant


    Datte: 27/03/2021, Catégories: hh, hbi, hplusag, jeunes, profélève, douche, intermast, Oral hdanus, hsodo, init, inithh, h+prof,

    ... laissant échapper de nouveaux petits gémissements. — Tu aimes ça, te faire lécher le cul comme un vrai pédéraste ? lui demandai-je.— Oui, j’aime votre langue. Je continuai encore plusieurs minutes, léchant profondément désormais toute la raie de ses fesses, m’attardant quelques fois sur ses couilles et sa bite, toujours bandée. Puis je me relevai rapidement pour prendre du gel et je me mis à sa grande surprise à quatre pattes sur lui, ma bite et mes couilles à hauteur de son visage. — Toi aussi, ma petite chérie, lèche-moi la bite et le cul, pendant que je prépare ton anus. J’avais levé ses jambes en l’air, si bien que son anus était complètement exposé. J’enduisis son petit trou de gel. Mon index commença par titiller doucement son anus, peu à peu, je le pénétrai du bout du doigt, guettant sa réaction, puis j’enfonçai une phalange, puis deux. Je le sentais respirer et gémir sur ma bite et mes couilles. — Tu aimes ça, mon doigt dans ton cul ?— Oui, j’aime, c’est… troublant.— Qu’est-ce qui est troublant ? Dis-moi exactement ce que tu ressens, à la manière des écrivains que nous avons lus cette année.— Ça fait un peu mal, c’est humiliant, mais c’est profond… Comme être complètement rempli, possédé… ahhhh, non, ouiii… Pendant qu’il me parlait, je lui avais mis deux doigts dans le cul et j’allais et venais profondément. Comme pour se soustraire au plaisir et à la douleur, il se mit à me sucer la bite et à me lécher les couilles et le cul de manière désordonnée, comme une petite ...
    ... salope. Je l’encourageai : — Oui, suce-moi, fais grossir ma bite. Finalement, n’y tenant plus, je me dégageai, lui plaçai un oreiller sous le dos pour le cambrer au maximum, lui écartai bien les jambes, et approchai mon sexe de ses fesses. — Regarde ma bite, la grosse bite de ton professeur, est-ce que tu la veux ?— Oui, je veux votre grosse bite, enculez-moi, défoncez-moi, faites de moi votre pédéraste, répondit-il en se branlant. Hors de moi, la tête en feu, il commençait à savoir ce qui m’excitait ce petit vicieux, je pressai mon gland contre son anus. Malgré la préparation de mes doigts, il était toujours assez étroit, et résista quelques instants à mes assauts puis, en forçant, mon gland passa la barrière du sphincter. Nicolas poussa un cri où se mélangeaient la douleur et le plaisir. J’arrêtai de bouger quelques secondes pour le laisser reprendre son souffle, mais tout de suite après, il écarta davantage les cuisses, relevant ses genoux sur sa poitrine, il me regarda dans les yeux, beaux comme une madone, toujours égaré entre la douleur et le plaisir : — Enculez-moi complètement… Je veux sentir toute votre bite, votre grosse bite dans mon petit cul de salope. Je le saisis alors par les hanches, et m’enfonçai profondément en lui. Son cul était étroit autour de ma bite, il était brûlant, je pouvais sentir ses muqueuses annelées contre mon gland et ses couilles contre mon ventre, c’était délicieusement pervers. Il gémissait sans retenu, grognait, criait, il m’attirait à lui ...
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