Puis d'un léger coup de désir, tu soulèves ma jupe...
Datte: 29/03/2021,
Catégories:
fh,
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amour,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nopéné,
nostalgie,
portrait,
... davantage sur la naissance de ma poitrine généreuse, joliment galbée par mon soutien-gorge transparent. Mes tétons se durcissent.« Ouiii, continue ! » et l’espérance résonne au fond de ma pensée. Je gonfle ma poitrine dans une grande inspiration de plaisir faisant céder le bouton suivant, juste entre mes deux seins. J’offre ma gorge, toute palpitante, prête à être dénudée pour peu qu’il souhaite finir l’effeuillage.« Persévère ; ne ferme pas les yeux pour ne pas me perdre et pour que je puisse me réjouir de ton trouble. Pas besoin de rougir, personne ne peut savoir… que notre possible existe. » À présent, il rêve de tendre ses mains, et ses doigts toujours habiles se posent délicatement sur les derniers boutons qui n’offrent aucune résistance. Les pans de mon corsage s’ouvrent. Il souhaite que j’ondule des épaules. Je fais cela. Le tissu glisse et les découvre délicatement une à une, puis le chemisier tombe à mes pieds. Je le ramasse en me penchant malicieusement en avant pour lui montrer ma culotte sous la jupe courte. Puis une petite brise rafraîchit l’air et des frissons parcourent mes jambes encore chaudes et moites d’avoir tourbillonné pour son plaisir. Il me sourit gentiment, ravi de me voir à présent frotter mes cuisses l’une sur l’autre avec sensualité pour calmer les petits tremblements de ma peau. Ma petite culotte descend le long de mes jambes, entraînée par chacun de mes mouvements. Arrivée à mes pieds, je la retire et la glisse dans mon soutien-gorge. Le vent ...
... léger s’arrête enfin. Mes cheveux longs se posent docilement sur mes épaules, ma jupe s’immobilise sagement bien au-dessus de mes genoux. Il n’imagine plus rien et j’ai peur de devoir repartir bientôt, trop vite. J’ai envie de hurler mes pensées, si seulement il pouvait les entendre.« Nooon, pas tout de suite ! S’il te plaît, Jean-Pierre, encore un peu, encore un jeu, une petite coquinerie, pas plus. » Puis, d’un léger coup de désir, il soulève ma jupe une dernière fois, comme s’il m’avait entendue.« Merci ! » Alors j’attrape au vol le tissu léger et je le garde bien relevé au-dessus de mes fesses en serrant aussi mon chemisier sur mon ventre. Il me laisse partir et je m’éloigne d’une démarche chaloupée. Je me retourne une dernière fois avec grâce pour échanger nos regards. J’emporte avec moi son sourire et je lui offre celui de Jeanne.« Qu’il te tienne chaud pour longtemps, jusqu’à ce que tu me fasses revenir ! » J’avance lentement pour prolonger son plaisir de me voir de dos, les fesses à l’air. Je me tiens droite, la tête haute, mes cheveux bruns se balancent au même rythme que mes pas. De loin, mes dernières pensées.« Tu es rassuré à présent ? Tout dépend de toi et de tes désirs. Juste une envie, un dessein, et je grimperai à cheval sur toi pour te faire l’amour sur notre lit. Nous y avons partagé fougue et passion dans des jeux érotiques jusqu’à la jouissance. Espère-moi, bien cachée dans cette petite crique pendant nos vacances et je m’allongerai, alanguie et offerte, sur ...