Folies sous les tropiques
Datte: 30/03/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
piscine,
voyage,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
pénétratio,
confession,
occasion,
extraconj,
... sensations inédites bouleversent mes entrailles. Le piston formidable brouille mes tripes. Certaines fonctions en sont affectées. Ma vessie comprimée multiplie les signaux tandis que les boyaux maltraités occasionnent un état nauséeux, mais ces menus désagréments se dissolvent dans les vagues de volupté qui déferlent et bouleversent mon être tout entier. Un feu de ce calibre ne crache pas des vétilles. Les salves de semence brûlantes et percutantes me projettent sur une orbite stellaire. Fichtre ! Le vieux est solide. Les psys, les toubibs et autres charlatans de même acabit racontent des histoires quand ils disent que la taille du pénis n’importe pas. Je témoigne du contraire. L’homme roule sur le côté. Je le rejoins, et reste lovée contre son flanc. Nous reposons ainsi sans mesurer le temps. La nuit est claire. De temps en temps le cri d’un oiseau perce le silence. La paix et la sérénité ! J’envisage de remettre ça et entreprends de ranimer la flamme, mais il s’oppose. Il m’embrasse, un baiser léger, du bout des lèvres, chaste, puis il se lève et s’éloigne. Seule, pleine de la semence qu’il a larguée, je me suis touchée comme jamais je ne l’ai fait auparavant, des heures durant je recommence jusqu’à ne plus pouvoir toucher mes chairs tuméfiées puis je m’endors comme une masse. Je n’entends pas Charles quand il rentre. Je le vois au matin, il ronfle à mon côté. Je ne me souviens pas avoir rejoint mon lit. Mon sexe est encore baveux de tous mes excès. La cyprine mélangée de ...
... sperme a ruisselé le long de la raie et poisse mes fesses. Mon épiderme et mes doigts fleurent des senteurs musquées rehaussées d’effluves suris et d’un bouquet marin. oooOOOooo En début de matinée, je rapporte les présents et l’argent au gardien. La chose ne va pas d’évidence parce qu’il ne veut pas. Je croyais l’avoir convaincu de garder au moins l’argent, mais de retour à l’hôtel à Dakar, je découvrirai dans mon sac le paquet contenant un magnifique bracelet en or ciselé en sus de la liasse intacte. Décidément, ce type reste une énigme ! oooOOOooo À Dakar, la mission est presque terminée, mais les formalités de clôture se succèdent néanmoins, sans discontinuer et sans me laisser le temps de souffler. La nostalgie du week-end à Saint-Louis n’en est pas moins là. Le jour du retour vers Paris, l’embarquement sur le vol Air France étant prévu très tard le soir, je libère mon après-midi au prétexte de faire des emplettes. Je caresse des projets fous, inavouables. Les scénarios sont nombreux que je ne peux raconter. Ma quête est naïve. Je veux être baisée, bestialement baisée, une dernière fois avant de rentrer. oooOOOooo La baise ? Quoi de plus courant ? Et pourtant ce n’est pas si simple qu’on croit. Déjà les préparatifs m’ont pris des heures, surtout la toilette, non pas que ce soit long en soi, mais j’ai tellement tergiversé. Au final, j’ai opté pour une tenue assez sexy, mais pas trop courte parce que j’ai fait l’impasse du dessous. L’audace m’a plu parce qu’elle m’a déjà ...