Diane
Datte: 30/03/2021,
Catégories:
fh,
inconnu,
groscul,
bizarre,
hsoumis,
fdomine,
odeurs,
massage,
Oral
nopéné,
uro,
donjon,
attache,
yeuxbandés,
hsoumisaf,
... se produire entre nous. Par contre, les taches sombres sur son chandail ne mentent pas. — C’est quatre-vingts dollars, c’est ça ? « Oui,me dis-je,ramène ce délire à quelque chose de tangible. Une fois sorti d’ici, tu n’auras plus jamais à y remettre les pieds. » — Écoute, me dit-elle, tu n’as pas besoin de massages. Mon cœur manque un battement alors qu’un gouffre s’ouvre sous mes pieds. Peu importe ce que je me raconte, je dois la revoir. Cette pulsion qu’elle a éveillée en moi est plus forte que ma volonté. Avant que je puisse la supplier, elle m’épargne une nouvelle humiliation. — Ce dont tu as réellement besoin, je peux te le donner. Mais ce n’est pas ce que tu crois. Je ne suis pas une pute.— Ça ne m’a jamais effleuré l’esprit, dis-je alors que je croyais que c’est exactement ce qu’elle me proposait. Son sourire ressemble plus à une grimace. — Reviens me voir demain après le travail. Je ne peux réprimer ma joie de la revoir aussi tôt. — Ici ?— Non, à la porte d’en bas. Je hoche la tête. — Il faut que j’amène quelque chose ?— Non. Je hoche la tête une fois de plus. Je m’apprête à partir, mais pour m’épargner de devoir souffrir de tous les scénarios que mon esprit ne manquera pas de créer, je lui pose une dernière question : — Je peux savoir ce qu’on va faire au juste ? Elle se mord la lèvre inférieure, ce qui m’envoie une décharge électrique. — On va surtout parler. Je ne sais pas pourquoi, mais je ne la crois pas du tout. *** Diane m’ouvre la porte de son appartement. ...
... Elle me fait signe d’entrer, et je remarque qu’elle porte une jupe de cuir noir et un tee-shirt trop grand pour elle. Le globe de ses seins apparaît à travers le tissu semi-transparent : ils se promènent librement, sans soutien-gorge. Sans un mot, elle me prend par la main et m’amène directement à un escalier qui descend au sous-sol. Je fixe la peau de ses longues jambes entre ses bottes et sa jupe. Je trouve étrange qu’elle porte des bottes à l’intérieur, mais je me tais. En bas, je suis surpris de trouver un lieu quelconque, sans décoration. Il n’y a qu’une pièce unique, avec un matelas posé au centre. Une porte métallique se trouve au fond de la pièce. — Étends-toi, me dit-elle. Ressentant autant d’excitation que de peur, je m’exécute. Je tente de dissimuler la puissante érection qui me fait mal, mais Diane l’a remarquée. Elle ne fait aucun commentaire. — À présent, tu vas devoir me faire confiance. Mais ne t’en fais pas, ça va venir naturellement après quelques jours. « Quelques jours ? De quoi veut-elle parler ? » Diane se tient maintenant tout près de ma tête ; je pourrais regarder sous sa jupe, mais je n’ose pas. Je crains qu’elle ne m’écrase de son talon. D’où je me trouve, elle ressemble à une déesse, ses jambes grimpant à l’infini. Plutôt que d’enfoncer sa botte sur mon torse, elle balance sa jambe gauche par-dessus ma tête et la pose tout près de mon oreille gauche. Cette fois, c’est immanquable : je vois tout. Ou presque. La lumière tamisée des lieux m’empêche de ...