Vive les sports d'hiver - Histoires de Sexe

Vive les sports d'hiver

... yeux bandés, Véro a eu l’idée de ce gage et m’a rasé. Elle était sur que tu allais tomber dans le panneau. Ça me fait tout drôle, ça te plait ?— Bien sur que ça lui plait, regardes comme il bande, ajouta cette machiavélique de Véronique. C’est la chatte rasée de ta femme qui te fait cet effet là, ou c’est parce que tu croyais que tu étais en train de me lécher ?— Euh, bafouillais je.— Bon ce n’est pas le tout mais si on annonçait son autre gage ? dit ma femme.— Parce que vous avez déjà prévu mon autre gage ?— Bien sur, mon chéri, je viens de te le dire nous étions sur que tu allais tomber dans le panneau.— Très bien, qu’avez-vous inventé cette fois-ci ?— Comme tu peux le constater, Océane s’est laissée raser, et y a pris beaucoup de plaisir, je pense, dit elle, en regardant ma femme d’ un air complice qui était pleins de sous entendus, et maintenant ça va être ton tour.— Mon tour de quoi ?— À ton tour de te faire raser, mon chéri, je suis certaine que tu vas adorer.— Non mais ça ne va pas la tête …— Mais si ! ça fait plus d’un an que tu me demandes de me raser entièrement, maintenant c’est fait, et je reconnais que cela me plait beaucoup. Je suis sûre que tu vas prendre beaucoup de plaisir à te laisser raser par Véro. Mes pensées se bousculaient dans ma tête. Devais-je me laisser faire ou arrêter ce jeu. Me faire raser par Véronique me rendait fou d’excitation, savoir que dans quelques instants elle allait me toucher le sexe, le manipuler, le raser. Je crois que ce qui ...

... m’excitait le plus c’est que ce soit ma femme qui me demande de laisser une autre femme s’occuper de mon sexe, sous ses yeux. Véronique alla dans la salle de bain chercher une paire de ciseaux, de la mousse à raser et mon rasoir. Une onde de terreur me transperça. Confier ses attributs virils à une femme armée d’un ciseau est terrifiant, mais cette terreur décuple l’excitation sexuelle. — Ne t’inquiètes pas, je vais y faire attention à ton petit oiseau, dit elle en actionnant les ciseaux devant mes yeux.— Oh oui car moi j’y suis très attachée ajouta ma chère épouse d’un air narquois. Véronique commença par me couper les poils pubiens aussi courts que possible avec les ciseaux, puis m’enduit tout le bas ventre de mousse à raser. Le contact de cette main « étrangère » me fit frémir. Le rasoir glissait sur ma peau. Véronique semblait très concentrée. Elle était accroupie entre mes jambes, mon sexe n’était qu’à quelques centimètres de sa bouche. Par instant je sentais son souffle sur mon gland. Comme j’aurais aimé qu’elle me suce à ce moment précis. Lorsqu’elle eut fini mon bas ventre, elle m’enduit la verge et les bourses de mousse à raser. — Tu ne vas quand même pas me raser le couilles aussi ?— Bien sûr que si, et le reste aussi.— Quel reste ?— Surprise ! Véronique me rasa les couilles, et les filles me firent relever les jambes pour s’occuper de mon anus. Cette position est à la fois très inconfortable et très humiliante mais terriblement excitante. Le rasage terminé, Véro me passa ...