Vive les sports d'hiver
Datte: 30/03/2021,
Catégories:
ff,
ffh,
couplus,
hépilé,
fépilée,
vacances,
fdomine,
humilié(e),
vengeance,
rasage,
Oral
jeu,
... un gant de toilette tiède pour éliminer les dernières traces de mousse. Lorsqu’elle eut finie, elles m’ordonnèrent de rester encore quelques instants dans cette position pour admirer leur ouvrage. — Il a vraiment un beau petit cul ton mari et maintenant qu’il est tout lisse je le trouve encore plus bandant, non ?— Oh oui ! Pousses toi un peu je vois le résultat final. Je trouve ça génial, j’adore ! Mon amour, pour te remercier de ta docilité je vais t’offrir une récompense. Océane rapprocha sa tête de mes cuisses, et de la pointe de sa langue, elle asticotât mon anus. Pour la première fois depuis que nous étions marié, elle me faisait une feuille de rose. Véro me caressait le bas ventre, frôlant à chaque fois de plus prêt mon vit. — Je raffole des hommes rasés déclara Véronique. Au moins quand on leur fait une pipe, on n’a pas de poils dans la bouche. En plus tu verras ma chérie, quand il vient en toi, ce n’est plus le même contact. J’aime quand c’est tout doux comme ça, ça me rend folle. Tout naturellement, elle s’était saisie de ma verge et me branlait tout doucement. — Personnellement, je ne regrette pas du tout de mettre laissait faire, ta caresse plus celle de Océane, c’est absolument divin. Ne vous arrêtez sous aucun prétexte … C’est trop bon … Je crois que je vais venir. Ma femme releva la tête et engloutit mon sexe que lui tendait son amie. Sa bouche était chaude, humide, je sentais sa salive couler sur mes couilles. Véro s’est à son tour agenouillée, et après un « ...
... je peux ? », a commencé à promener sa langue sur mes couilles et la base de ma verge. Alors que Océane me suçait le gland un peu comme si elle suçait une sucette, Véro, elle me le léchait comme si c’était une glace. J’avais deux femmes, entre les jambes, qui me suçaient. Leurs visages étaient l’un contre l’autre. Elles se passaient mon sexe de l’une à l’autre, et parfois je voyais leurs langues se touchaient. Sur mon membre, leurs salives se mélangeaient. Une de ces deux diablesses me doigta l’anus, ce qui me dit jouir instantanément. Je n’eue même pas le temps de prévenir ma femme, qui reçu mon premier jet dans la bouche. Voyant que Océane avait eu un mouvement de recul, Véro se saisit de mon membre et me masturba avec frénésie en orientant mes jets de sperme vers la poitrine de ma femme. J’étais comme en transe, incapable d’aligner deux idées, et encore moins de me rendre conte de se qui venait de m’arriver. C’est la voie de Océane qui me ramena à la réalité : — J’en ai partout ! Beurk !— Pourquoi « beurk », tu n’aimes pas le sperme ?— Non pas vraiment, et en plus je déteste quand il jouit comme ça sans prévenir. Non mais regardes, j’en ai plein les seins.— Ce n’est pas si grave. Laisses moi faire je vais t’arranger ça. Lorsque j’ouvris les yeux, je vis le visage de Véro avancer vers les seins de ma femme, tout doucement, un peu comme lorsque l’on veut approcher un animal sans l’effrayer. La pointe de sa langue toucha le sein de Océane, qui frissonna toute entière de ce ...