1. Yoko et le Sumi-e...


    Datte: 31/03/2021, Catégories: f, asie, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation

    ... asiatique au trait d’encre de Chine. Un art millénaire qui est encore à la base de nombreuses estampes japonaises et que les hommes recherchent avec gourmandise et délectation. Mais aussi et surtout, un art consommé du geste qui recherche la pureté de la ligne, sa force et sa puissance évocatrice. Autours d’elle, les feuilles s’étalent. Yoko, secoue la tête, s’ébroue et semble sortir de son univers. Après avoir soigneusement nettoyé tous ses pinceaux, elle les étale devant elle, rangés du plus gros au plus fin, couchés sur une natte de bambou, puis salut traditionnellement. Yoko, doucement, tranquillement tend sa main droite vers le pot à pinceaux de réserve et s’empare d’un nouveau pinceau, sec. Son manche, court et épais en bois précieux et chaud, a une forme oblongue. Les poils, blancs et soyeux, forment une longue goutte serrée qui se termine par une pointe légèrement émoussée. De sa main gauche, elle empaume son sein gauche par en dessous, et avec une dextérité rituelle, elle passe la douce pointe du pinceau sur l’ultime bout son téton rose et légèrement pointu. D’abord elle s’applique de petits coups, légèrement appuyés, comme si elle s’étalait un peu d’encre. Le contact des poils sur la peau fragile et réceptive du sein, transmet un long frisson à tout son corps. Elle assure la prise de son sein sans exercer de pression puis revient sur le bout du sein. Elle y forme des arabesques tantôt serrées, tantôt déliées. Sous le touché velouté et soyeux, à peine perceptible, ...
    ... la peau du téton se grène, réagit en formant une série de petits plis serrés qui en hérissent le mamelon et le téton, les fait durcir, gonflant aussi toute sa poitrine. Yoko tente de contrôler sa respiration et maîtriser les battements de son cœur. Mais le plaisir procuré par le pinceau sur sa peau dépasse déjà la jeune femme. Le pinceau de Yoko, parcourt le sillon entre ses deux seins. Elle descend vers son nombril, puis remonte en zigzagant, en essayant d’avoir le moins de contact possible avec la pointe en poils. Sous la délicatesse du touché, le fin duvet parsemé de son corps se hérisse, s’excite et transmet à tout son corps un long frisson qui se termine en chair de poule. Maintenant, Yoko, cerne le bord de son nombril. À petites touches légères et concentriques, elle s’approche de l’intérieur de cette cicatrice profonde qui orne le centre de son petit ventre plat. Tendrement, elle suit de la pointe du pinceau les petits plis formés par les restes de l’ombilic. La douce et légère caresse du bout du pinceau se transmet à tout son ventre intérieur et rayonne jusque dans son sexe. De temps en temps, elle ressort la pointe de son nombril et dessine de larges cercles sur son ventre, déclenchant de nouvelles vagues de frissons qui lui parcourent tout le corps et hérissent sa peau d’une nouvelle vague de chair de poule. Sans changer de position, les jambes légèrement écartées, les genoux bien posés sur son coussin, Yoko descend de son ventre vers l’intérieur de ses cuisses nues. ...