Exposition
Datte: 02/04/2021,
Catégories:
fh,
frousses,
jardin,
caférestau,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
exercice,
... et le déplie dans toute sa largeur, à cheval sur nos genoux. Elle glisse ensuite ses mains dessous, s’y affaire quelques brefs instants, puis elle me passe son bras gauche autour de du cou, tenant de la main droite la grande feuille. — Vas-y, me dit-elle. Voyant qu’elle n’attend pas de moi que je lui fasse la lecture de la page « International », je glisse à mon tour ma main sous le papier et un regard autour de nous. Comme je m’y attendais, sa jupe est presque entièrement déboutonnée, et comme je sens sa cuisse contre la mienne, elle entrouvre les jambes. Ma main file sur son string. Je la caresse un peu, puis tire sur le tissu et passe mes doigts sur son bouton. Je sens vite sa chatte devenir humide ; j’accentue légèrement la pression des doigts tandis qu’elle me caresse doucement la nuque et fait mine de lire très sérieusement les rubriques de la page de droite. Avec un doigt, puis deux, je la pénètre un peu, la caresse, la titille, mais tout au mieux de deux phalanges. Si j’avais su ce qu’elle voulait, je me serais placé de l’autre côté ; pour un gaucher, j’aurais été plus à l’aise pour la gamahucher. Je l’entends respirer un peu plus fort, mettant à mal son allure de lectrice concentrée, et je sens mes doigts toujours plus humectés. On entend des cris d’enfants qui nous parviennent de très loin, depuis leurs aires de jeux. Je guette les bancs voisins qui restent vides, et les rares joggeurs pressés qui passent ne prêtent aucune attention à nous. Visiblement, Agathe ...
... prend un certain plaisir à la situation, mais j’ai du mal à dire si ce plaisir vient de ma main baladeuse et maladroite ou bien de mon évidente frustration. Car elle sait très bien qu’à ce stade, à me faire tâter de ses lèvres (celles du bas), cela me donne une furieuse envie de me mettre à genoux et d’y mettre la langue, de les embrasser à pleine bouche. Ce que je ne pourrai pas faire ici. Et dans les petits gémissements qu’elle étouffe en serrant les lèvres (celles du haut), je devine son sourire en coin. J’essaie de ralentir le rythme de mes caresses pour mieux pénétrer son vagin de mon majeur, mais sans grand succès. Je finis par réaliser qu’avec notre petit jeu nous faisons vibrer la face rouge cramoisie de Donald et celle ripolinée de sa compagne, dont la photo tremble en plein milieu de la page. Agacé, je délaisse la chatte d’Agathe, récupère mes doigts et j’y lèche un peu de cyprine. Avec la même dextérité, Agathe rajuste sa jupe sous la Une, m’embrasse tendrement puis se relève. En partant, nous abandonnons notre Parisien sur le banc. Sur la route, avec un air moqueur, Agathe propose de m’offrir une glace, comme pour insister sur mon envie inassouvie. Je décline, préférant garder sur la langue le peu de parfum d’abricot que j’ai pu lui prendre. Nous gagnons la première station de métro. Entrant dans la rame, je me pose sur une petite banquette entre deux voitures. Au lieu de se placer à mes côtés, Agathe va cette fois s’asseoir juste en face de moi. Elle n’a pas ...