Trois Hommes
Datte: 04/04/2021,
Catégories:
f,
h,
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
Oral
... cabine, faiblement d’abord, puis plus marqué : le bruit d’une agitation, le bruit de tissus frottés, bref, en un mot : j’entends Nicolas qui se masturbe. Son souffle court ne laisse pas de doute, ni le bruit régulier de son poignet qui s’active autour de son sexe. Je l’imagine, dur, en train de se branler en pensant à ma chatte qu’il a aperçu furtivement. Cette image me trouble et à mon tour, je glisse une main sous ma jupe, pour frotter ma paume contre mon collant. Je n’ai pas l’habitude d’en porter sans rien en dessous. Je sens mon jus sur ma peau. Je mouille abondamment. Je passe mon doigt le long de ma fente, je frotte et avec ma paume, je fais des cercles sur mon sexe. J’aime la matière de ce collant qui s’infiltre dans mes chairs. Soudain, un bruit dans le couloir me fait sursauter. Mince ! Et si on me surprenait là ? La honte ! Je n’ai rien à faire dans les toilettes pour hommes ! Je me réajuste et regagne discrètement mon bureau. Je fais mine de me replonger dans mon travail mais en réalité, j’ai chaud et je suis toute excitée. Il faut que je me calme. Je sens mes doigts : n’importe qui reconnaîtrait cette odeur animale, l’odeur de mes sécrétions intimes. Je me recoiffe, je tente de reprendre une allure décente. Bientôt, Nicolas revient. La bosse dans son pantalon a disparu. Il me fait un petit sourire gêné et se rassoit en silence. Nous sommes un peu gênés. Heureusement, je doute qu’il connaisse l’odeur d’une chatte. En revanche, moi je sens d’ici son odeur à lui. ...
... Un mélange de transpiration et… de sperme. Dois-je me sentir flattée de l’hommage ? L’après-midi se passe plus calmement. Je n’ai pas envie de voir à nouveau la situation déraper, alors je me tiens à carreau. D’ailleurs, prétextant que j’avais froid, j’ai gardé ma veste sur moi. Il a semblé déçu. En fin de journée, nous faisons le bilan de son travail, c’est l’occasion d’un nouveau rapprochement. Nous travaillons dans le calme, seulement entrecoupé de mes remarques sur ses erreurs, et l’ambiance me semble plus détendue. Je me sens fatiguée de ma journée, de toutes ces émotions aussi. À un moment, je suis même surprise par Nicolas, qui se relâche au point de se permettre une plaisanterie. La journée se termine, nous faisons le bilan, positif, de son expérience. Il me dit qu’il a beaucoup appris aujourd’hui, et je n’ai aucune peine à le croire. Au moment de partir, il ramasse ses affaires et fait tomber son crayon sous le bureau. Le geste ne m’a pas échappé et je le soupçonne même de l’avoir fait exprès. Il se glisse donc à quatre pattes en dessous pour le récupérer. Je ne suis absolument pas dupe de son petit numéro : il cherche à en voir un peu plus avant de partir. Pour le vérifier, il me suffit de retirer l’un de mes escarpins et de jouer avec mon pied. Je le frotte contre ma cheville, faisant crisser le collant dans un bruit sensuel. Nicolas ne remonte pas de sous la table. J’hésite… cette fois, ce n’est plus comme si je m’étais exhibée de manière effrontée : c’est lui qui ...