Trois Hommes
Datte: 04/04/2021,
Catégories:
f,
h,
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
Oral
... parle, pour meubler ce silence, jouant les ingénues en me plaignant d’avoir des pieds aussi sensibles. — Tu as une copine ? Je lui ai posé la question avec négligence mais en réalité, je ne suis pas sûre qu’elle soit bien naturelle et à propos. Mais comme depuis dix minutes, je joue les filles bavardes et insouciantes, Nicolas ne se brusque pas. — Euh… non.— Ah ? Je croyais. Quelqu’un m’a dit ça dans l’entreprise, je sais plus qui…— Oui, euh, en fait j’en ai eu une, mais j’ai cassé. Y a pas longtemps.— Oh… (petite moue attristée) Je suis désolée… En réalité, je suis convaincue que cette copine n’a jamais existé, et que monsieur vient de se trahir. À ce moment, je décide de changer de cheville. Alors que je fais des gestes ostensibles pour retirer mon deuxième escarpin, je vois, tel le loup de Tex Avery, Nicolas laisser tomber la mâchoire sur la table et ses yeux s’agrandir. Je réalise alors que je suis probablement allée trop loin : en faisant passer ma deuxième jambe sur le bureau, j’ai donné à mon mateur une vue directe sur mon entrejambe. Le geste a été assez rapide, néanmoins je ne doute pas, à son expression, qu’il a noté que sous mon collant, je ne portais rien. Je referme les cuisses assez rapidement et continue à me masser la deuxième cheville, un peu plus nerveusement. Un silence de plomb est tombé, Nicolas mange son sandwich en baissant les yeux, rouge comme une pivoine. Quelle idiote ! Et s’il allait se plaindre pour harcèlement sexuel ? Mon dieu ! Calmons-nous ! ...
... Jusqu’ici, il n’a pas eu l’air de détester le spectacle. En revanche, je suis sans doute allée un peu loin. Entre les taquineries relevant du flirt et une exhibition franchement sexuelle, il y a un pas que je n’ai pas voulu franchir, à la base. Je termine mon massage et repose ma jambe par terre. J’ai noté que Nicolas a relevé les yeux pour essayer d’apercevoir quelque chose, mais cette fois je ne lui ai rien donné à voir. Visiblement, mon mateur n’en a pas eu assez. Ceci me rassure sur ses intentions. Soudain, visiblement troublé, en tout cas dans un geste précipité, Nicolas se lève en bredouillant un « je reviens, je vais aux toilettes ». Alors qu’il sort de la pièce, mon regard se porte naturellement sur son entrejambe. Le tissu de son pantalon forme une bosse qui ne laisse aucun doute sur la nature de son trouble. Une minute passe. Une idée m’a traversé l’esprit. Et si… ? Oui, c’est évident. J’ai remis mes chaussures et ma veste de tailleur, et je sors de mon bureau pour me rendre jusqu’aux toilettes. Personne ne me regarde, alors j’entre à pas de loup dans celles des hommes. Il n’y a pas un bruit. Je fais couler l’eau d’un lavabo, fais mine de me laver les mains, puis je fais semblant de sortir. En réalité, je retire mes escarpins et m’agenouille. Oui, il est bien là, immobile, dans la troisième cabine. Je ne fais pas un bruit et me tiens près de la porte, en retenant mon souffle. Deux minutes passent dans un silence complet. Alors, j’entends soudain du bruit venant de la ...