1. Mon mari m'offre à d'autres mâles. (10)


    Datte: 04/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    La croisière s’amuse. Mon mari, malgré la relative facilité que son travail nous créait de recruter du manche à couilles, continuait de dépenser des trésors d’ingéniosité pour me faire plaisir et satisfaire son penchant croissant à me voir baisée par d’autres hommes. Dire tous les plans qu’il monta serait fastidieux d’autant qu’ à certaines reprises, ce fut un flop, les mecs n’étant pas à la hauteur des espérances. Si, au pire, l’embauche s’avérait difficile au regard des critères de choix, il était toujours possible de retomber sur mon beau-frère et mon beau-père et Mustafa bien sûr. Sébastien le voisin restait inaccessible et c’était incompréhensible. Nous fîmes cependant des connaissances qui s’avérèrent fort utiles comme ce médecin qui put nous procurer, outre de violents orgasmes, certains médicaments utiles à la prévention des IST... en prévision de notre voyage. Car mon mari m’offrit une croisière. Quels étaient ses plans ? Le plus souvent il me faisait la surprise mais il était difficile de garder le secret pour notre embarquement. Il me jura qu’en la circonstance, il n’avait rien prévu. On aviserait sur place. Il ne manquerait pas d’hommes à bord, faciles à séduire. On irait à l’aventure et, si nous faisions chou-blanc, il me baiserait lui même tout les jours, promis. Cette perspective était déjà réjouissante en elle-même et suffisante pour me promettre un merveilleux voyage. Je ne le croyais qu’à moitié mais au final, c’était vrai. Seules les opportunités ...
    ... dictèrent notre conduite. Encore fallait-il les provoquer. Et ce ne fut pas long. Sitôt à bord, les bagages installés dans la spacieuse cabine, une suite plutôt, nous nous dirigeâmes vers la poupe pour assister aux manœuvres du départ. Nous surplombions ainsi les espaces destinés à la manutention des boutes, qui n’avaient pas encore débuté, sans pouvoir y avoir accès bien sûr. - Regarde, regarde ! - Quoi ? - Le mec là, tu vois la brute, chérie... ça te dirait pas de te faire monter par ce colosse ? En effet un docker ou en tout cas l’équivalent sur un bateau, allait et venait en attendant qu’on lui donne des ordres. Il disparaissait parfois et revenait tout en parlant, en anglais qu’on entendait parfois par bribes avec un certain accent, à un invisible camarade. Sa carrure était très très avantageuse. Il était grand, blond, très musclé. Ses pectoraux déchiraient presque son débardeur kaki dégueulasse. De dos il était tout aussi impressionnant. Ses bras ressemblaient à des troncs d’arbres et sa peau basanée complétait très favorablement le tableau - C’est pas parce qu’il est baraqué qu’il a une grosse bite ! Remarquai-je. - Même si elle est petite sa queue, te voir disparaître sous ce monstre doit être très excitant. J’essaie ? - On ne risque rien, répondis-je. Mon homme avait prévu un petit matériel constitué d’une photo de moi dans le plus simple appareil, allongée, jambes ouvertes, visage flouté. Il était écrit en anglais : "tu veux baiser ma femme"? Puis un numéro de portable. ...
«1234...»