1. Mon mari m'offre à d'autres mâles. (10)


    Datte: 04/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Quelques pièces de monnaie faisaient lest. Eric laissa discrètement tomber le message aux pieds du mec sans que les autres passagers appuyés comme nous au bastingage ne s’en rendissent compte. Le bruit des pièces heurtant le plancher métallique du navire parvint aux oreilles de notre Apollon malgré les bruits de la manœuvre. Le gars regarda par terre puis en l’air, ramassa le paquet, l’ouvrit, lut et regarda en l’air à nouveau. Mon mari m’avait donné le portable que j’agitais en regardant le garçon. Je le vis fouiller dans sa poche et sortir son portable. Je reçus un message - For real ? Not a joke ? Je répondis aussitôt et toujours en anglais mais en lui demandant s’il était possible d’avoir une photo de sa bite. La conversation, que je traduis, se poursuivit... encourageante. - Je peux pas, j’suis avec un collègue. Mais j’ai un gros sexe si c’est ce que tu veux savoir. - Votre collègue veut se joindre à nous ? Il y eut un moment de silence. Le gars disparut puis envoya : - Oui. - Il peut se montrer ? Et aussitôt, ils apparurent sur le pont. L’autre type avait un look un peu oriental, peut-être turc. Il était plus petit mais ses muscles étaient aussi importants que ceux de son camarade. Par contre il paraissait beaucoup plus âgé; Le premier devait avoir la trentaine à peine et l’autre pas loin du double. D’ailleurs son ventre n’était pas plat comme celui de son jeune compagnon. - Vos bites les garçons ? On peut avoir des photos ? Il me fallut attendre un peu pour le selfie ...
    ... car il y eut quelques manœuvres à exécuter. Mais, côte à côté les mecs me montrèrent leur paquet bien à l’air , bien épais et bien poilu, circoncis pour le vieux, avec un prépuce apparemment épais protégeant un gland dont on voyait nettement les contours pour le plus jeune. - Trop bonnes vos queues.... vous êtes libres quand ? - Notre quart s’achève dans deux heures vingt... puis le temps de prendre une douche... - Venez comme ça ! - On ne peut pas, on n’a pas le droit de fréquenter les passagers. - On peut venir chez vous ? - ... Oui... si discret. Et ils nous expliquèrent où trouver la porte de la coursive qui donnait accès à leur cabine. Nous regardâmes la suite de l’appareillage. Le vent qui montait de la mer apportait peu de fraîcheur. Aidés par les treuils, nos dockers faisaient peu de mouvement mais portait des câbles lourds et allaient d’un bord à l’autre. Parfois ils tournaient leurs regards vers nous et souriaient en parlant fort entre eux et rigolant. Puis ils disparurent. Il restait plus d’une heure et demie encore. Nous eûmes le temps de repasser à notre cabine. Je mis une robe légère sans rien dessous et emplit mon sac avec un tube de gel et une réserve de préservatifs. Nous nous approchâmes fébrilement de la porte qui devait s’ouvrir pour nous et j’étais toute excitée. Il se passa dix minutes au delà de l’heure convenue et je commençai à craindre un lapin. Le bateau était en pleine mer et avançait alors que le soleil commençait à décliner. Tout à coup, il y eut ...
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