Mon mari m'offre à d'autres mâles. (10)
Datte: 04/04/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... un message. - Nous sommes là derrière la porte. Vous êtes seuls ? Personne en vue ? - Oui La porte s’ouvrit aussitôt. - Vite ! Vite! Nous nous engouffrâmes et suivirent les deux mecs d’un pas vif avant de nous trouver dans une petite cabine où il n’y avait qu’un lit. - Ma cabine ! dit Peter, d’origine australienne, et voici mon pote Mourad. Les deux mecs étaient gigantesques. Ils dégoulinaient de sueur, leur débardeur en était trempé, dans le dos et dans le creux des pectoraux. Mourad défit sa ceinture et baissa son froc. La bite se déploya, superbe. - Suce ! Je m’y mis aussitôt. Elle sentait fort les effluves du jour. Son gland était épais et courbé, très doux. Mon mari se mit sur le côté. Pour laisser la place à la marmule australienne. Je pompai l’un et branlai l’autre, pompai l’autre et branlai l’un, alternativement. J’étais heureuse de ma trouvaille, ou plutôt de celle d’Eric. J’avais deux bonnes grosses teubs, dures à souhait, qui embaumaient le mâle adulte en période d’excitation. Ça puait fort l’homme. J’avais les naseaux dilatés par tant d’agréables effluves. Je mouillai sans avoir besoin de me toucher. Les gars appréciaient le contact de ma langue. Le turc dégoisait des choses incompréhensibles tandis que l’australien débitait des " bonne salope, quelle suceuse, quelle bouffeuse de bite...’ sans interruption. Ils tendaient leurs mains vers mes nichons pour les peloter vigoureusement au travers du linge délicat de la robe. Leurs mains sentaient l’odeur ...
... caractéristique qui s’en dégage quand on les tient trop longtemps dans un gant comme ceux que j’utilise pour le jardinage. Enlève tes fringues, dit le turc dans une anglais aussi guttural qu’approximatif. Mais j’avais tellement le feu au cul que je fis de la traduction simultanée. Je me relevai donc pour enlever ma robe. Les deux gars avaient déjà profité des mes mouvements alternatifs de la bouche d’une bite à l’autre pour ôter leurs pantalons. Au moment où j’enlevai ma robe, ils en profitèrent pour enlever leurs débardeurs, mais l’australien fut moins rapide, occupé à me doigter déjà et j’étais déjà nue quand il tendit ses bras vers le ciel pour se débarrasser de son marcel. Ce type s’entretenait. Autant le turc était couvert de poils formant une toison uniforme du pubis jusqu’aux tétons saillants, et s’éclaircissant sur le haut des pectoraux, autant l’australien s’entretenait le poil. Ses couilles étaient lisses, son bas ventre taillé et, visiblement, il s’était rasé les aisselles où un poil pas très long encore repoussait. Des perles de sueurs scintillaient dans cet antre de la virilité. Je me mis sur la pointe des pieds pour aller en recueillir le meilleur du bout de ma langue. Le gars apprécia et me présenta l’autre côté pendant que le turc se masturbait en essayant de l’autre main de s’approcher de ma chatte. Mon mari libéra son zboub et jeta sur le lit une poignée de capotes et un tube de gel. On ne sait jamais, même avec un traitement contre les IST... Le tube de gel doit vouloir ...