1. Mon mari m'offre à d'autres mâles. (10)


    Datte: 04/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... ils étaient quasi lavés. Deux autres types entrèrent donc un black genre pygmée avec littéralement une troisième jambe. On était à sept dans la piaule et ça commençaient à faire serré et à sentir le fauve. Les deux gars qui me pinaient ne semblaient pas disposés à laissés la place au nouveaux venus qui devaient se contenter, au moins provisoirement de leur main droite. Il n’empêche, j’avais drôlement envie de me faire enfiler par le pygmée. Comme je faisais remarquer à Eric que la bite du petit black me défoncerait sûrement la moule jusqu’à l’œsophage, l’heureux triquard répondit en français parfait qu’ils se faisait fort de me l’enfoncer par le cul jusqu’à la luette. Romuald, du Congo, barman à bord. Au bon endroit, au bon moment. Ses copains l’appellent "Marsupilami". On devine pourquoi. Deux autres gars entrèrent. STOP ! Plus de place, faites la .... queue ! Mais cela faisait trop de monde et on frôlait l’émeute. L’affaire fut traitée en un tournemain. Deux gars ouvrirent la porte. Deux autres firent le guet et celui qui me sautait, me souleva m’empalant toujours et me porta quelques mètres plus loin, dans une salle dédiée à l’équipage où trois autres garçons regardaient là télé. Le mec marchant tout en me pénétrant... la sensation fut extraordinaire. Il eut du mal à maintenir sa longue bite dans le vagin pendant le court périple mais, à chaque fois qu’elle en sortit, il me réenfila et reprit son mouvement. Eric et moi étions dépassés par les évènements... gangbang ...
    ... donc ! - J’vais pas avoir assez de capotes, dit Eric - Je sais où en trouver, dit Romuald. Chauffez-moi la place. Je reviens. - Tu vas te brûler au retour lui répondis-je. Et tous ils me baisèrent.... tous comme des bêtes... plus ou moins vite... mais fort, très fort. Les orgasmes succédaient aux orgasmes, je mouillai abondamment et j’avalais le sperme de mon mari qui n’y tint plus de voir autant d’hommes me monter. Je ne pouvais pas regagner ma cabine, pas avec les cheveux collés par des giclées de sperme coagulé, pas avec du sperme sur le visage et sur les seins. J’avais du sperme partout. Les rares gars suffisamment maladroits pour juter dans leur capote, en déversaient le contenu sur ma poitrine quand ils la retiraient. Romuald me finit. Pour la première fois, une pénétration me fit mal. Sa bite était tellement longue ! Il le comprit, adapta ses gestes et me bourra longtemps encore après que les autres gars eurent fini. Quelques-uns restèrent pour le bouquet final... un geyser de foutre, jaillissant d’un pipe-line noir sur mon profil droit à m’en boucher l’oreille. Peter eut la gentillesse de me porter jusqu’à sa cabine pour que je m’y douche et m’y rhabille. Pendant que je me délassai, j’entendis Eric et Romuald converser. Un courant de sympathie semblait s’installer entre les deux étalons. Romuald, de part ses fonctions était autorisé à fréquenter les espaces réservés aux passagers. Il revêtit son uniforme et nosu accompagna jusqu’à notre suite en se promenant avec aisance ...
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