Le ridodo
Datte: 05/04/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
vacances,
amour,
cérébral,
noculotte,
Oral
coupfoudr,
... circonvolutions exaspérantes, tours et détours agaçants. Mon nez, parfois, frôle avec une intentionnelle légèreté, comme par hasard, le sommet du fruit hérissé, provoquant un frisson qui suspend un instant la respiration de ma soumise. À l’instant où elle pense que je vais enfin accaparer ses tétons impatients, je me redresse et plaque ma bouche sur ses lèvres. Je sens dans son souffle rapide l’exaspération délicieuse qui la noue et, bon prince, je retourne vite vers une des mûres granuleuses pour la lécher, la suçoter, l’affoler avec ma langue, l’engloutir alors que mes mains martyrisent gentiment l’autre téton durci. Lilas se cabre, se cambre, projette ses seins vers ma bouche, appuie sur ma tête pour forcer le contact, gémit sous mes caresses. Quand mon genou glisse entre ses cuisses et s’active sur sa fente inondée, Lilas part, décolle, rue, hoquette, tremble, retient ses cris, mais hurle intérieurement, râle puissamment, longuement. Très longuement ! Elle se calme peu à peu, encore secouée par instants par des ondes malicieuses. Elle retrouve sa respiration en murmurant : « Tu es fou - tu es fou - tu es fou ! ». Calmée, elle m’attire, dépose sur mes joues, ma bouche, mes paupières, des myriades de baisers légers, aériens. — Tu es complètement fou ! Ça fait si longtemps qu’on ne m’avait pas fait jouir juste avec les seins ! Je souris, appuie mon genou contre son sexe : — Oh, j’ai un peu triché…— Normal, faut ce qu’y faut ! La gourmande vient de glisser sa main entre mes ...
... cuisses, et satisfaite de ce qu’elle trouve, m’adresse un clin d’œil : — Tu vois, il n’avait pas à s’inquiéter. Je sens bien qu’elle voudrait me guider directement vers le compas de ses cuisses, mais je n’en ai pas fini avec elle. — Tout doux, gourmande, maintenant, c’est toi qu’il faut réactiver ! Si toutefois, c’est possible… À ton âge !— Salaud, glisse-t-elle en riant et en m’offrant sa bouche. Tendre baiser, langoureux, complice. J’abandonne ses lèvres pour dégringoler sur son corps que je couvre d’un chapelet de baisers mouillés. J’aborde le mont de Vénus parfaitement épilé, mes lèvres contournent soigneusement un certain promontoire sensible et se glissent sur les rives de la rivière enchantée. Ma langue se fait large, enveloppante, pour caresser les grandes berges couleur sable, étroite pour titiller les festons écarlates des nymphes déployées, incisive pour plonger dans le canyon embrasé et goûter l’écume liquoreuse. Je me soûle de tous ses parfums suaves de femme, des odeurs délicates de son désir. Lilas tangue sous mes caresses, se tortille, triche aussi, voulant entraîner ma langue vers le détonateur, le bourgeon malicieux. Mais je résiste, ma bouche plonge plus bas, embrasse la grotte merveilleuse. Nul besoin de sésame, l’antre est béant, accueillant, offert. Ma langue le pénètre aussi loin que possible, Lilas s’écartèle pour garantir l’accès, presse ma tête dans le delta de ses cuisses, noie le bout de mon nez dans sa fente ennoyée. Elle tente de tricher, encore, ...