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Natasha & Franck (6)
Datte: 05/04/2021, Catégories: Transexuels
... le membre bien enfoncé dans son petit trou, elle restait assise sur moi. Elle collait son dos contre moi et m’invitait à passer les mains sous sa robe pour y triturer les tétons. Elle variait les mouvements de son bassin, d’avant en arrière, latéralement, circulaires ou de haut en bas. Natasha me rendait dingue quand elle faisait ça. Elle pouvait me garder ainsi en elle longtemps, maintenant une érection constante sans jamais m’amener jusqu’à l’éjaculation. Elle pivota pour se retrouver face à moi. Elle m’embrassait, elle aussi tournait plus de sept fois sa langue. Elle passait ses bras autour de mon cou. Elle récupéra sa langue afin de pouvoir parler distinctement : « Je sais qu’avec tout ce qu’il s’est passé depuis le peu de temps que l’on a fait connaissance, nous n’avons pas eu vraiment l’occasion d’aborder le sujet. Ca peut paraitre prématuré puisque ce soir cela fait tout juste trois jours que nous nous connaissons. Mais c’est quand même important, d’autant plus que nous allons passer beaucoup de temps ensemble dans les mois qui viennent. -Tu voudrais savoir si c’est juste une histoire de cul ou bien….. -Je ne l’aurais pas formulé ainsi… ...
... J’aimerais que tu sois mon mec ! -Parce que je suis quoi là ? Ai-je une tête de porte-serviette ? -Idiot ! Ce n’est pas pour que tu te sentes coincé ou piégé. Ca n’empêchera pas de continuer à avoir des relations avec Kristina ou Alexandra, on a l’habitude de fonctionner comme ça. Surtout avec Kristina comme tu as pu le voir. Ou même avec Karen si elle le souhaite. J’aimerais juste que tu sois mon mec. Jusqu’à présent, c’était juste des histoires de passage. Généralement les hommes que j’ai croisés n’assumaient pas d’être avec une trans et forcément, il y a toujours un moment où ça part en couille. Si tu n’as pas envie, c’est pas grave. On peut toujours s’envoyer en l’air tant qu’on en aura envie et tu resteras le batteur du groummm…. » Mes lèvres l’interrompirent. Et pour que le message soit bien clair et sans ambiguïté, je l’allongeais sur le canapé. Elle passait ses jambes autour de ma taille et ses bras enlaçaient mon cou. J’accélérais la cadence de mes va-et-vient et l’inondais de mon plaisir, mes lèvres toujours sur les siennes. Je restais un moment en elle, immobile. Je fixais ses grands yeux bleus qui avaient ce brillant des filles amoureuses.