La découverte - Histoires de Sexe

La découverte

... peut-elle refuser ? — Oui, mon amour. Je t’attends, mais ne te fatigue pas trop… Il faut être « tordu » pour imaginer ce scénario. Mais depuis hier, Charles gamberge. En rentrant, il a fait l’amour à sa femme. Elle ne s’est pas refusée. Au contraire. Donc, c’est nue qu’elle ouvre la porte à son amant. Ils tombent dans les bras. Il ne faut pas plus de quelques secondes pour que l’homme se retrouve nu. Déjà sa maîtresse, sans attendre de monter, veut se saisir de la bite bandante. Mais l’homme a envie d’autre chose. Comme un fétu de paille, il soulève sa maîtresse pour l’asseoir sur le buffet. Il plonge entre les cuisses ouvertes. — Salope, tu t’es déjà fait baiser par ton mari.— Oui, deux fois, répond-elle fièrement.— Tu ne peux pas nier, son foutre coule encore. Tu as de la chance que cela ne me gêne pas. En effet il continue de bouffer sa chatte. Claire pose ses pieds sur les épaules de l’homme et, largement ouverte à son amant, se laisse emporter par ses caresses. Le voisin reprend sa maîtresse et la fait glisser le long de son corps. Les bras autour du cou, les jambes enveloppant les hanches, Claire se sent envahir par le mandrin. C’est un piston qui entre dans un cylindre si huilé que c’est trop facile. Pourtant lorsque l’homme marche avec son fardeau bien chevillé, c’est un bonheur. Mais Claire semble émerger. — Tu n’as pas mis de capote ! Arrête !— J’ai reçu mes résultats hier soir. Je suis clean. Ils sont dans ma poche, tu veux voir. Le « non » est plus que de ...

... soulagement. C’est un « non » qui veut dire « surtout n’arrête pas, continue ». Charles regarde bien sûr. Le couple à deux pattes passe devant lui. Il pourrait les toucher. Mais l’homme ouvre la porte d’entrée. — Qu’est-ce que tu fais ? demande la guenon accrochée à son mâle.— Je vais te baiser dans le jardin.— Mais on pourrait nous voir.— Justement, c’est bandant. De toute façon elle ne peut que suivre. Ils disparaissent de la vue de Charles. Discrètement il va dans le salon qui donne dans le jardin. Ils ne sont pas allés bien loin. Claire est allongée sur la table. Charles est rassuré, c’est un endroit que personne ne peut voir. Cela l’embêterait que quelqu’un soit témoin de son infortune. Il veut garder ce secret et, honteusement s’avoue à lui-même, le plaisir de profiter de ce spectacle. Pendant plus de trente minutes, le couple enchaîne baise sur baise. L’homme promène sa maîtresse dans le jardin et chaque endroit est propice à innover… ******************** — Charles, nous vous écoutons. Je disais que « l’état de cocu est bien banal et ne mérite pas un tel dénouement ».— Excusez-moi, je pensais… Oui vous avez raison. Mais en réalité son infidélité ne s’est pas arrêtée ce jour-là et avait certainement commencé bien avant.— Mais comment pouvez-vous en être certain ? Claire a avoué ? Vous en avez parlé ?— Non, ni l’un ni l’autre, il suffit juste de savoir compter.— Compter ?— Oui, compter les préservatifs. La première fois, j’avais remarqué que ma femme avait sorti une boîte de ...