1. Un soir à Paris


    Datte: 06/04/2021, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail Oral pénétratio, fdanus, confession,

    ... immense, difficilement descriptible, toujours à la limite. Je m’étais sentie transportée, mais je restais inassouvie à la recherche d’un orgasme libérateur que je m’accordais rapidement en le regardant vaincu. oooo0000oooo Nous sommes longtemps restés silencieux, allongés l’un contre l’autre sans bouger. Nous ne nous étions pas complètement déshabillés. Ma bouche pleine de lui, il m’embrassa, d’abord timidement, du bout des lèvres, puis de plus en plus fort, au fur et à mesure que nous mêlions nos langues saturées de nos intimités. — Popy, qu’est-ce que tu m’as fait ?— Je t’ai choqué ?— Non, tu ne m’as pas choqué, mais j’ai cru que tu voulais me tuer.— Pourquoi, ce n’est pas le cas ?— Tu m’as tué Popy, qu’est-ce que tu m’as fait ? J’ai vraiment perdu connaissance, tu es une diablesse.— Oui, je suis une diablesse, quand je veux.— Ça t’arrive souvent ?— Je ne sais pas. J’aime quand ça dérape. Quand rien n’est programmé, quand ça ne se passe pas comme prévu. Là, j’avais envie.— Tu le savais en venant me voir ?— Non, pas avant que tu poses ta main sur mon épaule.— Et là, je n’ai plus rien compris à ce qu’il m’arrivait, dit-il en riant.— Moi non plus, c’est comme ça.— Tu es prête à tout… tu n’as pas de limite…— Non, j’ai les miennes, j’aime perdre un peu de contrôle, surtout quand c’est moi qui décide. Si tu n’avais pas joui dans ma bouche, j’aurais voulu te prendre dans mon cul, mais tu ne m’as pas laissé le temps.— Je ne sais même pas qu’elle heure il est, combien de temps ça ...
    ... a duré… Tu es prête à recommencer ?— Non, je n’ai plus envie. Tu me prêtes ta salle de bain, j’ai besoin de me nettoyer ?— Tu as quelqu’un dans ta vie ?— Ne me fais pas ce plan. Tu as le double de mon âge. Tu sais bien que demain tu n’y penseras plus, et moi, j’aurai aussi oublié. On s’est fait plaisir, on s’est surpris, on ne s’y attendait pas, c’est bien comme ça, moi, ça me va.— Tu es une drôle de fille…— Oui… Pas un numéro de téléphone qu’on appelle pour tirer un petit coup rapide.— J’ai cru que tu avais aimé ce moment.— Oui, j’ai aimé. Mais c’était un moment. Et j’imagine que tu n’as plus le goût ni l’envie de finir ta correction. Je ne suis pas si naïve, ne t’en fais pas. Tu n’auras même pas à t’excuser. Si tu veux bien me faire appeler un taxi, je voudrais partir, il faut que je rentre chez moi. oooo0000oooo Je regarde l’horloge sur le tableau de bord du taxi. Il est presque deux heures. L’homme conduit souplement, sa voiture glisse le long des quais de la Seine. Je pose ma tête contre la vitre glacée, triturant les pointes de mes cheveux. Elles sont raides, comme des petits bâtons de Mikado. Je n’y avais pas fait attention. Quelques gouttes de sperme séchées qui me rappellent la réalité de cette soirée. Mon téléphone vibre. Je l’interroge. Depuis vingt-trois heures, Francis m’a laissé un message tous les quarts d’heure. Il s’est lassé vers une heure. Il a dû se coucher. C’était déjà tard pour lui. — Je vous laisse à l’angle, mademoiselle ?— Non, déposez moi en bas de ...