1. L'hôtel (1)


    Datte: 08/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... vêtu d’une serviette de bain enroulé autour de la taille me regardait, hilare. — Pardon de vous avoir dérangé, Monsieur. La porte a claqué et...mais ça va aller, merci. Et je redoublai mes coups à notre foutue porte. Et mon foutu mec qui ronflait de plus belle… Et le type, immobile, dans mon dos, qui devait mater mon cul… et en plus, j’avais mes escarpins...une vraie pute ! — On fait de l’exhib dans les couloirs… j’adore, ça fait très salope ! En plus, vous êtes super-bien gaulée ! Il soufflait fort. Je ne sus si je devais lui dire d’aller se faire voir ou juste : Merci. — Merci. Mais quelle conne ! l’homme se sentit encouragé par mon remerciement et il se posta à côté de moi. Je ne savais plus comment cacher mes seins, ma chatte qu’il ne cessait de mater. j’allais lui hurler de me foutre la paix quand les pas d’une personne qui approchait résonnèrent au bout du couloir. l’homme retourna rapidement dans sa chambre et il me fit signe de le suivre. Alors je n’hésitai plus et la seconde suivante, j’entrai à se côtés et il refermait la porte. On entendit les pas devant la chambre puis une clé. Quelqu’un entrait dans la chambre d’à coté. l’homme soupira puis il me regarda de la tête aux pieds. — Je vous ai sauvée de José. Il est le Président de notre association de jumelage. On vient d Espagne...une délégation de trente personnes et on est là pour fêter avec nos amis d’ici les chars fleuris. Vous avez vu ? c’est si beau ! Sinon, vous me devez un service. — Quoi ? Je ne le ...
    ... sentais...mais vraiment pas. Et pourtant, il avait raison. Je prenais alors les devants en souriant : — Trente euros pour vous remercier… ? — Mais je ne suis pas una puta...Moi. Il avait raison. J’avais été maladroite envers un homme qui m’avait "sauvée" d’une humiliation certaine mais sa petite réflexion me troubla. — Pourquoi dites-vous cela ? — vous vous êtes vue ? — C’est un accident. — Oui et ça aussi! Et sa serviette tomba. Son gros sexe se redressa d’un coup, pas trop dur mais plus du tout mou. Une bite large, poilue… je reculai, désarçonnée. La main sur la poignée, je lui signifiai mon envie de partir. Mais pour aller où ? Revenue devant ma chambre, je tambourinai à nouveau à la porte. Mon crétin de compagnon dormait toujours ! c’était foutu. Je me retournai vers l’homme qui me regardait, adossé à la porte ouverte de sa chambre. Il se touchait maintenant la bite… alors je fis demi-tour et je revins dans sa chambre. Il referma derrière moi puis il m’invita à entrer et à m’asseoir sur le bout du lit. Je refusai poliment mais il haussa le ton. — Tu fais ça ! Alors sans comprendre pourquoi, j’obtempérai. l’homme se plaça debout devant moi, satisfait. — Ouvre tes cuisses que je vois ta chatte ! L’alcool encore dans mon sang ? Mon incapacité à rentrer dans ma chambre ? La laideur de cet homme, son gros sexe poilu ? Ma tenue de pute ? Tout cela ? j’obtempérai. Et l’homme mata, lubrique puis...il se branla frénétiquement. Je me sentis ...humiliée et si...mouillée. d’ailleurs, il s’en ...
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