1. L'hôtel (1)


    Datte: 08/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... en m’insultant, certainement, et me claquant les fesses avec violence. Le plaisir qui me faisait accepter tout cela et qui affleurait depuis le début remonta en flèche. Ma chatte coulissa toute seul sur cette bite très dure. l’homme se retira d’un coup puis il m’encula...d’un coup. Ce la entra assez facilement. Xavier m’enculait aussi… en y ajoutant une bonne dose d’un plaisir que je connaissais pas, la bite se fraya un passage sans obstacle dans mon fondement. j’étais une vraie putain ! l’homme lamina mon cul pendant dix minutes puis il se contracta et il lâcha sa sauce bien au fond de mon trou de dépravée. Pendant que je récupérai, je l’entendis parler un long moment. Il avait attrapé son portable et il conversait avec quelqu’un. En espagnol, bien sûr. Il rigola puis il me claque les fesses en raccrochant. — Allez ! Pas fini ! Je me levai, le cul endolori mais les sens exaltés par cette soumission à des inconnus. urquccem José ouvrit la porte de sa chambre et il indiqua le couloir. Je pensais alors qu’il voulait que je retourne voir le premier gars… mais une fois dans le couloir, un homme aussi laid et vieux que les deux premiers et déjà à poil m’attendait à dix mètres. Il me fit signe de venir. Mes pas me menèrent sans chanceler jusqu’à lui et bien au contraire, mon cul se dandina comme celui d’une prostituée qui allait chercher le client. l’homme me mata de la tête aux pieds en riant. Il dressa son pouce à l’attention de José puis il me poussa dans sa chambre. — Tu es ...
    ... une salope de première, toi, hein ? — Non, mon mec dort dans notre chambre et… — En plus ? Mais t’es une sacrée putain ! Suce, puta ! Il me força à m’accroupir et je pompai avidement cette queue longue et plus fine que les deux autres. Deux minutes après, il s’enfonça dans ma chatte… jetée sur le lit, sur le dos, je prenais mon pied pour la énième fois...j’adorais voir mes escarpins qui symbolisaient à merveille ma condition de pute éphémère. Ces hommes ne s’y trompaient pas. j’étais folle de ces queues et de ce scénario imprévisible, incroyable qui me transformait en une grosse salope… l’homme éjacula longuement en râlant, conquis par mon corps si joliment soumis à sa virilité. On m’envoya ensuite dans une quatrième chambre. Puis une cinquième. Des hommes assez âgés, bien montés, qui adorèrent me ramoner la chatte et y vider leur semence épaisse. Remplie de jus ibérique, mes pas chancelants m’obligèrent à en lâcher des grosses gouttes sur le tapis du couloir de l’hôtel à chaque transfert d’une chambre à l’autre. Et je connaissais un con qui dormait sans se douter de quoi que ce soit… Sept hommes profitèrent ainsi de mes trous. Quand le dernier m’indiqua la sortie, je me retrouvais dans le couloir, nue, poisseuse, certifiée pute et pas plus avancée qu’au début : J’étais à la porte de "chez moi" ! Un brouhaha au bout du couloir et provenant de l’étage inférieur m’inquiéta mais personne ne monta. Le silence revint rapidement et l’évidence me réveilla un peu : il fallait que je ...
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